LE MONTAGE
Il débute par la voilure, où il faut tout d’abord rallonger les cordons des servos. Une ficelle est en place à l’intérieur de la structure pour faciliter le passage des fils. Ensuite, on colle à la cyano fluide les charnières souples en fibre des ailerons. Les guignols, en fibre de verre, doivent être collés à l’époxy dans des fentes déjà réalisées en usine. Les servos au format 17 g sont vissés sur des trappes en bois dur, elles-mêmes vissées sur l’aile, c’est classique. Oui, sauf que les servos conseillés par Pichler ne rentrent pas dans les fixations des trappes… Il faut donc jouer un peu de la fraise et du cutter pour que tout rentre dans l’ordre. Les tringleries d’ailerons sont en corde à piano de 2 mm. Elles sont filetées d’un côté pour y visser une chape en plastique et lisses de l’autre afin de la plier en L et y mettre un clip en plastique.
On passe ensuite à l’installation des trains rentrants. Ici aussi, les mécaniques de train ne rentrent pas dans leurs emplacements, il faut donc ressortir les cales à poncer et l a fraise sur microperceuse pour réussir à installer l’ensemble. Des puits de train sont fournis et sont à installer. Ils sont en plastique et sont assez fragiles. Ils seront collés dans l eur l ogement à l’époxy après, ici encore, quelques ajustages au cutter et à l a cale à poncer... Les roues sont verrouillées sur les axes des jambes de train par des bagues d’arrêt, et des rondelles en plastique permettent de bien disposer la roue sur son axe.
Les ailes se verrouillent au fuselage grâce à des vis déjà en place, qui viennent serrer des platines en métal : simple et efficace.
Hanno Prettner, ici à droite, vient de remporter le « TOC » de 1978 à Las Vegas. Il est ici accompagné de Miss TOC et de son père Hans.