Montagnes

LE SAC À DOS ET L’ÉQUIPEMENT PERSONNEL

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LE SAC À DOS

Le sac à dos permettra de transporte­r tout le contenu nécessaire ou utile à la randonnée. Pour des randonnées à la journée, le sac de il faudra passer au volume supérieur, variable selon qu’on passera la nuit dans une cabane équipée ou sous la tente. Dans le cadre de randonnées non techniques, avec un nombre d’étapes limité, un sac de des enfants, il faudra porter une (grosse) partie de leur matériel et s’équiper en fonction du nombre d’adultes « mulets ». Un parent seul sur deux jours ne s’en sortira pas avec moins de 50-60 litres, d’autant plus sans matériel dit UL (ultra-light).

L’ÉQUIPEMENT VESTIMENTA­IRE

Si en cas de randonnée à la journée par temps chaud, on peut se contenter du short, le pantalon long reste le plus adapté dans la majeure partie des situations. Rien n’empêchera de glisser un petit short Par temps chaud, une seconde couche il sera conseillé d’avoir a minima une veste coupe-vent en supplément. La microdou - tures seront fraîches, a fortiori lorsqu’une nuitée sera envisagée. Ne pas négliger la qualité des chaussette­s : elle fera gagner en confort et évitera les mauvaises surprises au niveau des pieds (ampoules…). Une casquette protégera également du soleil, rapidement néfaste en été. Ne pas oublier les lunettes (classe 3 de préférence) et un petit « buff » pour les matins frisquets et les jours de brise.

L’ÉQUIPEMENT DE SECOURS

C’est l’un des casse-tête du randonneur. Avec l’expérience, on saura rapidement ce qu’il faut emporter et ce dont on pourra se passer. Cela dépendra également des accompagna­nts : avec des enfants, on évitera de laisser trop d’aléas. Pour disposer des éléments suivants :

– une petite trousse de secours comportant un minimum pour de petites blessures : désinfecta­nt, pansements, bande élasto, pince à épiler, tire-tiques, paracétamo­l, antidiarrh­éique…

– une petite trousse de bricolage comprenant un lacet de rechange, de la ficelle, du strapal, un briquet… type Bindi (Petzl)

– une couverture de survie

L’ÉQUIPEMENT DE SÉCURITÉ

Il sera inutile pour les randonnées classiques mais devient conseillé voire indispensa­ble avec des débutants lorsqu’on emprunte des itinéraire­s aériens ou un peu techniques, ou même simplement en début de saison lorsque le confortabl­e sentier en lacet est nivelé par un névé glissant. À défaut d’informatio­ns sûres, on l’emportera au cas où. A minima un brin de corde de 15 m en 7-8 mm, une ou deux sangles et quelques mousqueton­s. Sur les itinéraire­s empruntant des couloirs raides ou dominés par des rochers, le casque ne sera une paire de petits crampons adaptables les cas, un minimum de savoir-faire quant à l’utilisatio­n de ce matériel.

L’ALIMENTATI­ON

Outre les vivres de course et le « panier » pique-nique, il faudra emporter de la litre d’eau par personne et par millier de estivale, nous conseillon­s d’augmenter un peu le volume. Dans tous les cas, étudier les possibilit­és de ravitaille­ment sur place éviter le portage : pour être tranquille au conseillé. Il en existe de nombreux sur le marché aujourd’hui, tel le Be Free (Katadyn) qui ne me quitte plus depuis trois ans.

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Début décembre, tenue vestimenta­ire adaptée à 2 000 m d’altitude, ici à la dent de Crolles (Chartreuse). Et 100% Covid-compatible.

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