LE RESPECT DU MILIEU
La fréquentation de la montagne ne récente de ces espaces par des citadins d’entre nous a donc le devoir de limiter au maximum son impact. Voici quelques attitudes à adopter ou à proscrire pour que des montagnes et pour que les futures générations héritent d’un espace pas trop amoché.
REMPORTER SES DÉCHETS
La pollution visuelle est un des premiers arguments de sensibilisation du jeune public. On pourra même faire mieux : redescendre à l’occasion un papier ou une boîte de conserve trouvée dans la nature et de ce fait, participer à la remise en état des sites. Nous ajoutons qu’un sentier dégradé incite les suivants à être moins précautionneux. Une peau de banane en cours de décomposition aura son impact. - ront laisser celle de leur mandarine, etc.
RESPECTER LES SENTIERS
Lorsqu’on évolue sur un sentier, on peut être tenté, notamment à la descente, par facilité et pour gagner du temps, de couper - sion et, sur les itinéraires fréquentés, les - raître. Même en essayant de canaliser les randonneurs (branches en travers, cordons…), nombreux sont ceux qui le faisant, on abîme le tracé des sentiers, sans parler du piétinement d’un espace supplémentaire : impact sur le biotope et le visuel.
NE PAS FAIRE DE FEU
Outre les risques d’embrasement (d’ailleurs, c’est explicitement interdit en beaucoup d’endroits), selon l’endroit et le degré de sécheresse du moment, le feu crée des outre, de nombreux randonneurs détruisent la végétation environnante pour alimenter le foyer. Au fur et à mesure des années, ces - tiques pour les arbres.
GÉRER SON CHIEN
Tenir son chien en laisse ou, a minima pour un animal bien obéissant, lui imposer de rester à proximité de son maître. On rencontre malheureusement beaucoup d’animaux de compagnie lâchés dans la nature, qui divaguent et font de nombreux allers-retours dans la végétation, dérangeant (et parfois préda nichant au sol, etc.). Par ailleurs, de nombreux sites imposent de tenir son chien en laisse.
PRÉLEVER AVEC PARCIMONIE date… pour prélever fruits consommables (baies, châtaignes…) et champignons. Ne plus durables) bouquets étant ceux qu’on trouve dans la nature. La photographie permettra d’immortaliser n’importe quel bouquet sauvage.
ADAPTER SON ATTITUDE
La montagne est un espace de tranquillité où on apprécie d’écouter le « chant » d’un torrent, le cri d’un oiseau ou le silence de la nuit. Sans entrer dans des injonctions drastiques, on gagnera à s’imposer quelques - hahas lors d’un rassemblement piquenique ou bivouac, ne pas crier sans raison évidente… Se rappeler que le bruit que l’on fait pourra être mal perçu par autrui et qu’on a le devoir de se mettre en harmonie avec le milieu.
FAIRE SES BESOINS, PROPREMENT
Faire ses besoins à distance d’un axe de passage et remporter tout papier souillé.