PAROLES DE MÔMES
Hugo Robert, Yamaha R3 « C’est top d’avoir un encadrement comme ça. Les instructeurs mettent bien le doigt sur nos problèmes. Ce n’est que ma première saison en challenge R3 et j’ai encore pas mal de choses à apprendre. D’autant que je roule assez peu, puisqu’il n’y a pas de circuits homologués vers chez moi, en Bretagne. Je suis plutôt grand et j’ai du mal à déhancher [il n’a pas que le casque de Ben Spies, mais aussi le style, bras très écartés !], à trouver mes trajectoires. Mais j’ai bien progressé, je pose le coude ! » Loïc Millet, Yamaha R125 « Bien sûr, j’ai appris, révisé et corrigé pas mal de choses en pilotage. Du coup, j’ai gagné une seconde au tour ! Et puis, j’ai aussi appris des trucs en communication, comment bien utiliser les réseaux sociaux, sans faire de fautes, avec des belles photos, bien cadrées, donner une image pro. C’est vraiment superintéressant. L’ambiance est géniale, même avec les crosseux on s’est bien marrés. Bon, OK, ils nous ont mis minables en short-track… Et puis les monos sont pas des tristes non plus : il y en a qui ont dû manger des clowns à table ! » Les frotteurs de coude « C’est top de poser le coude ! Avoir deux points d’appui, c’est une sensation géniale en courbe. On a quasiment tous frotté ! C’était un peu le challenge entre nous. Il n’y a que Robin qui n’a pas réussi, mais il ne lui manquait vraiment pas grand-chose… » A la décharge de Robin, c’est le plus petit, 1,50 m, et, même en déhanchant au maxi, ses bras sont encore un peu courts pour lustrer le bitume !