Le lexique du MotoGP
• Hospitality : un motorhome dont la structure technique, une fois déployée, fait office de salle de restaurant, entouré de bâches plastique transparentes, où les repas servis sont d’ailleurs délicieux. Dans l’hospitality elle-même, des bureaux sont disponibles pour organiser des rendez-vous en toute discrétion
• Mapping : la cartographie, qui définit la façon dont la puissance du moteur est délivrée
• Run : la sortie du pilote, qui dure en moyenne un quart d’heure lors des séances d’essais libres
• Seamless : ces boîtes de vitesses de haute performance réservées exclusivement à la catégorie MotoGP, pour simplifier, ne provoquent aucune rupture de couple au passage des rapports. Ces boîtes restent mécaniques et offrent de plus un gain de poids important en comparaison des systèmes robotisés
• Switch : les commutateurs réseau, des équipements qui relient plusieurs segments (câbles ou fibres) dans un réseau informatique, qui sont matérialisés par des petits boutons de différentes couleurs placés de part et d’autre sur les deux demi-guidons
• Time Attack : le pilote et son équipe se réservent un quart d’heure en fin de séance pour faire un ou deux tours chrono
• Traction Control : réglage qui limite le patinage à l’accélération
• Wheelie : tendance qu’a la moto à se cabrer à l’accélération. L’anti-wheelie, dont l’intensité est modulable, est programmé pour limiter le cabrage, sans trop brider la puissance de la machine. Une affaire de compromis, comme pour tous les autres réglages électroniques.