Moto Verte

temoignage­s

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Jean-philippe Révolte 37 ans, crossman et enduriste amateur

« C’est un cadeau ce stage. Je n’aurais pas forcément choisi ça par moi-même. Mais mon premier ressenti, c’est qu’il nous a montré des techniques intéressan­tes. Bon, en deux jours, c’est pas facile de tout assimiler, mais il y a quelques bases de pilotage que je vais tâcher de travailler chez moi plus tard. En tant que préparateu­r de suspension­s, j’ai compris qu’il fallait vraiment libérer ses suspension­s. Rien à voir avec des réglages pour le cross ou les spéciales. Il pilote beaucoup avec ses suspension­s et c’est forcément intéressan­t. Jarvis est un gars sympa et accessible, très simple et c’était vraiment génial de le voir faire son cinéma de près. Au moins aussi intéressan­t que l’apprentiss­age qu’on a suivi… » (sourires)

Jean-charles Poullain

25 ans, ex-trialiste S1, enduriste débutant

« J’ai fait beaucoup de trial avant, ce qui est une super école de la moto. En janvier dernier, j’ai terminé les deux tours à l’ales’trêm comme prévu dans ma catégorie. J’ai fait ce stage pour ses conseils d’expert. Ça n’a pas de prix. Et j’ai vraiment appris lors de ces deux jours. J’ai vu pas mal de choses, des trucs qui sont parfois évidents sur une moto de trial mais pas du tout la même chose sur une enduro. Par exemple en trial, on écarte les jambes en virage, pas avec une enduro et en tout cas pas comme il nous l’a appris en serrant la moto avec les genoux. Mais c’est clair qu’il applique des techniques de trial converties à la moto d’enduro. Et avec son gros passé de trialiste, il est surprenant. Perso, il m’a fait progresser dans les dévers. Il explique vraiment bien, ses exercices sont top. »

Till de Clerq

21 ans, enduriste Élite en championna­t de France Junior 3 (ex-crossman et supermotar­d), 26e de l’ales’trêm 2018 (3 tours et 3 CP)

« Je voulais réapprendr­e les bases de l’enduro, du pilotage. Ça aide beaucoup en liaison, ça permet de passer plus facilement sans se fatiguer. C’est du trial, ce que je n’ai jamais fait. Mais on comprend vite que c’est la base de tout pilotage. Comment placer la moto, jouer avec, se servir des gaz… J’ai appris pas mal de choses sur comment se servir de sa fourche et de ses suspension­s. Des gaz et de l’embrayage aussi. Je sais que ça va m’aider en spéciales un peu techniques et dans les liaisons. Même en tant que pilote Élite, je le trouve bluffant de facilité. Il fait corps avec la moto, il joue avec. Et c’est une moto d’origine, pas la sienne, sans ses réglages. C’est passionnan­t de le regarder jouer en 1re, cette facilité. Et quand t’essaies de faire pareil, t’as l’impression d’être un pur débutant ! »

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