Beta Racing 21

Comme chaque année, Beta propose ses modèles enduro RR à la sauce Racing. Des machines bourrées d’équipements haut de gamme, tel une fourche Kayaba à cartouche fermée, des tés anodisés noirs, des pneus Metzeler Six Days, des repose-pieds en ergal, une couronne bi-matière, une selle avec pochette, quelques pièces anodisées rouge ou noir. La gamme 2T et 4T bénéficie de cette finition, même la 125 et cette année la 200 RR. En concessions.

Les concurrents ont reçu une médaille souvenir de l’épreuve brivadoise. Un geste d’attention de la part du club qui s’est vraiment décarcassé pour faire de ce rendez-vous une réussite. Chapeau le MC Brioude !

Nicolas Deparrois devant Marc Moralès lors du cross final. Un moment incroyable parmi tant d’autres. Le champion de France de cross-country s’est dit emballé par l’épreuve d’anciennes même si sa Husky a serré le premier jour, d’où son classement final très moyen.

Alex Queyreyre termine à la 2e place scratch sur sa SWM 240 Romieu Racing. Le solide ardéchois a mis du gros gaz tout au long des quatre jours et a « sauvé l’honneur » du team Romieu, Simon s’étant satellisé dans la ligne le 2e jour.

Y’avait des fans de grosses teutonnes à Brioude avec notamment les trois BMW GS replica ou encore la grosse Katé 500 des années 80 à bloc Rotax. Oui, faut pas s’aimer.

Jean-Louis Figureau était l’un des artisans et pilotes des ISDT en 1980. À bientôt 74 ans, il a remis ça cette année et terminé l’épreuve sur sa SWM 240. Solide.

Les pilotes français de l’équipe Vase Classic ont roulé l’enfer. Viardot, Chipier, Tirard (de g. à dr.) ont notamment tapé au scratch cumulé leurs potes du Trophée historique (Moralès, Charles, Charbonnier). Aucun respect les jeunes…

Jacky Denizot était déjà le speaker officiel des ISDT à Brioude en 1980. Comme quelques pilotes l’ont fait au guidon, il était à nouveau présent cette année pour commenter l’évènement derrière son micro. Quelle constance.