NOTES
(1) Béji Caïd Essebsi remporte l’élection présidentielle au second tour, le 21 décembre 2014, avec 55,68 % des voix et une participation de 60 %. Son parti, Nidaa Tounes, était arrivé en tête des législatives du 26 octobre avec 86 sièges sur 217.
(2) International Crisis Group, « Tunisie : Lutter contre l’impunité, restaurer la sécurité », Rapport Moyen-orient/afrique du Nord no 123, 9 mai 2012.
(3) Michaël Voegtli, « Du Jeu dans le Je : Ruptures biographiques et travail de mise en cohérence », in Lien social et Politiques no 51, 2004, p. 145-158.
(4) Le terme « destour » renvoie au patrimoine politique tunisien hérité du Néodestour, parti engagé contre la présence
française et actif entre 1934 et 1964, qui donna naissance au Parti socialiste destourien (1964-1988).
(5) Décret-loi no 2011-35 du 10 mai 2011, relatif à l’élection d’une assemblée constituante.
(6) Chokri Khémira, « La recomposition du mouvement destourien », in Hamadi Redissi, Asma Nouira et Abdelkader Zghal (dir.), La Transition démocratique en Tunisie : État des lieux. Les acteurs, Diwen Éditions, 2012, p. 35-69.
(7) Jérôme Heurtaux, « “L’ancien régime” à l’épreuve de l’élection concurrentielle : Abbes Mohsen, ancien maire de Tunis et candidat aux législatives du 26 octobre 2014 », in L’année du Maghreb no 13, 2015, p. 283-294.