3 QUESTIONS A ERIC SOUBEYRAS

Après avoir ouvert son compte en 2012 pour le plaisir, le double champion de France SX1 en titre utilise désormais Instagram d’une manière professionnelle. Cédric Soubeyras nous explique son approche. Cédric, la communication sur les réseaux sociaux, c’est devenu primordial ? « Oui, c’est très important. Dans la plupart des contrats, il est désormais stipulé qu’il faut poster des images mettant en avant les marques. Pour moi, c’est le cas avec Scott, Shift, Monster, Leatt Brace. Il arrive souvent que les partenaires demandent désormais le nombre de followers que l’on a. Ça fait partie du jeu désormais, et ça va continuer à se développer! » Depuis combien de temps utilises-tu ton compte Instagram? « Je l’ai ouvert en 2012. Au début, je mettais surtout des photos privées, sans vraiment réfléchir, il n’y avait pas de stratégie particulière. Aujourd’hui, c’est différent! Si mon compte se développe, c’est parce que tout est pensé. J’ai un ami de longue date, Romain Ducourneau, qui a fait des études pour devenir community manager. Il m’a donné et me donne toujours de bons conseils pour mes posts. Avec Shift par exemple, on a défini une ligne à suivre. Pour que les images soient cohérentes, je ne poste jamais sur la même ligne deux photos avec des tenues différentes par exemple. » Instagram est donc entré dans les moeurs du MX, c’est un média incontournable ? « C’est évident, aujourd’hui, je me rapproche des 40K en termes de followers. Quand je regarde les stats de mon compte, je suis avant tout suivi par les fans français. Ensuite, dans l’ordre, on trouve les USA, l’angleterre, l’italie et l’allemagne. En termes de tranche d’âge, les 18/24 sont les plus présents avec 82 % d’hommes. J’aime bien ce média de communication, pour moi dans le monde du MX, Roczen et Wilson sont les deux références. Leurs photos sont cools, leurs stories parfois marrantes. Le compte de Marvin est sympa aussi, hyper-pro, peut-être même un peu trop. Je suis sûr qu’il gagnerait des followers avec un peu plus de photos privées, moi aussi d’ailleurs! » (rires…)