ORL: excellence pour l’IUFC
L’Institut Universitaire de la Face et du Cou, rattaché au CHU de Nice peut s’enorgueillir de figurer dans les cinq premières places, pour trois activités. Il arrive ainsi en 2e position pour le traitement des glandes salivaires et en 5e concernant le cancer de la thyroïde et la chirurgie du nez et des sinus. Habitué des « bonnes notes », le Pr José Santini, qui dirige cet institut ne cache pas pour autant sa satisfaction. « C’est la première fois qu’on occupe une place aussi élevée pour le cancer de la thyroïde, véritable fléau de santé publique. » Concernant la « chute » de la chirurgie du nez de la 1re (classement 2015) à la 5e place cette année, il propose une explication teintée de bon sens : « C’est une intervention parfaitement faisable dans des structures privées. » Mais au-delà de la situation de « son » centre, le spécialiste veut souligner que le département des Alpes-Maritimes, « malgré son faible bassin de population », parvient à se hisser dans les 10 à 15 meilleures places pour de nombreuses activités. « On peut simplement regretter « des fuites » de patients vers des établissements situés dans d’autres départements pour certaines « surspécialités ».
Ondoitlesrenforcer.» Parmi les cliniques françaises traitant les cancers gynécologiques, la clinique St-Jean de Toulon arrive e tandis que la polyclinique St-Jean de Cagnes-sur-Mer est e et la clinique St George de Nice e. « Ce résultat nous a agréablement surpris, commente le directeur général de l’établissement toulonnais, Bruno Thiré. Nous avons une grosse activité de cancérologie : gynécologique mais aussi sein, poumon, digestif, hématologie, etc. Que ce soient les praticiens ou les patients, chacun est toujours satisfait de constater que sont établissement est référencé dans un palmarès médiatique.»