Golf Le Victoria avec les Nez Rouges WATER-POLO Nice continue l’apprentissage En image Business France : les valeurs du sport au service de l’entreprise
Le changement de cap du Gym promettait une saison de transition, pas forcément évidente. Celle-ci s’est avérée peutêtre encore plus compliquée qu’attendu, puisque Nice manquera les play-off. Condamnées à un combat à trois avec Fleury-Loiret et Celles-sur-Belle depuis leur revers à Issy-Paris (-) dimanche, Marie François et les Niçoises ont à coeur d’assurer un maintien confortable pour ensuite se projeter sur la saison à venir. L’arrière gauche se livre sur la fin de saison qui attend le club.
Comment le groupe vit-il cette non-qualification pour les play-off ?
C’est sûr que ce n’est pas facile à vivre. On voulait s’y qualifier, malgré le fait que faire un / face à Issy, Chambray et Dijon était difficile. Maintenant, même si l’on gagne les deux derniers et que Dijon les perd, on sera derrière à la différence de buts particulière. En début de saison, imaginiez-vous ce scénario ? On était bien parti, puis on a eu un très gros creux. Depuis quelques semaines, on se réveille, mais c’est déjà trop tard, d’autant que certains de nos rivaux l’on fait plus tôt.
Comment abordez-vous cette phase de play-down ?
Depuis le dernier match, on ne s’est pas encore revu. Je pense qu’il y aura une réunion demain (lire aujourd’hui) ou dans les jours à venir, pour voir comment se mobiliser au mieux pour le maintien.
Les deux dernières journées de championnat seront déjà un début de play-down finalement… Tout à fait. Gagner contre Pour débuter les play-off de Fédérale , le Stade Niçois recevra Bédarrides dimanche aux Arboras (barrage aller à h, retour le avril). Les deux équipes se connaissent bien. Avant de se retrouver pour un billet en /es de finale, Azuréens et Provençaux ont ferraillé à deux reprises en saison régulière. A l’aller, le novembre, les Niçois l’avaient emporté -. Au retour, les Vauclusiens avaient pris leur revanche -, au cours d’une partie marquée par une bagarre générale. C’est donc un match très chaud que s’apprêtent à livrer les Azuréens. En cas de victoire, ils affronteraient Vienne (en match aller/retour) en /es de finale. Pour accéder à la F, les Stadistes devront se hisser en quarts. Le golf Victoria, à Valbonne, a formidablement joué le jeu en faveur de l’association « Les Nez Rouges », qui vient en aide aux enfants malades à l’hôpital. Romain Sordi, étudiant en ère année à l’Idrac (école de commerce) a mis en place aux côtés de Sandra Benichou, sa tutrice, une compétition destinée à recueillir des fonds. La journée s’est traduite par un beau succès, avec une forte participation. Classement Brut Dames : . Lysiane Koechlin (Victoria), ; . Laurence Page (ClauxAmic), ; . Carine Fink (Paca, ; . Ambre Page (Claux-Amic, ); . Sylvaine Cordero (Victoria), ; etc. Classement Brut messieurs : . Roland Cordero (Victoria), ; . Patrick Assandri (Victoria), ; . Eric Maciejewski (Victoria), ; . Yves Olichon (Claux-Amic), ; . Maurice Delpias (), ; . Julien Helleux (Victoria), ; etc. Chambray puis à Besançon nous permettrait de bien nous positionner, de mettre Fleury à distance pour attaquer la poule de maintien à la e place.
Personnellement, comment analysez-vous cette première saison à Nice ?
J’ai eu du mal au début après mon départ de Dijon. Depuis - matchs, j’ai retrouvé mon niveau, mais là aussi, c’est arrivé beaucoup trop tard. J’espère apporter ce que je sais faire pour permettre au club de se maintenir.
Pour ensuite continuer de grandir avec le Gym ?
Il va y avoir quelques petits changements cet été. Puis les arrivées de deux « monstres » (Linnea Torstenson et Carmen Martin, de Bucarest, ndlr) vont apporter une plusvalue énorme. Il faudra compter sur nous. L’ONN part en voyage scolaire. D’ores et déjà éliminés de la course au Final 6, les Azuréens se rendent en Hongrie ce soir avec l’ambition de continuer à en apprendre sur eux, la Ligue des champions et son langage. Avec ce déplacement à Budapest et un autre à Berlin pour clôturer sa saison européenne, Nice a deux occasions de faire oublier son triste bilan loin de ses bases. Car si les partenaires de Laversanne ont montré une capacité de résistance et une certaine habileté pour enquiquiner l’adversité à Jean-Bouin, ils ont, aussi, affiché une fragilité mentale prononcée à l’extérieur. Une déficience à gommer pour continuer à valider une certaine progression. « Je suis pragmatique, analysait Nardon après le dernier revers contre l’Olympiakos (8-12, le 22 mars). Au Pirée, par exemple, le budget pour un joueur c’est le nôtre pour l’équipe. Avant de penser à gagner des matches, il nous reste une ou deux marches à franchir, aussi bien pour le club, les joueurs ou moi. On doit encore apprendre à jouer tous les trois jours. A l’extérieur, les joueurs sont sortis de leur environnement. Malgré le fait d’être loin de la maison, les nuits à l’hôtel et le voyage, il faut être capable de nous investir autant. » Ce soir, les Niçois essayeront de faire jeu égal avec des Magyars encore en course pour disputer le Final 6. (e, (e, Challenge, dépassement de soi, motivation, capacité d’adaptation, esprit d’équipe... Le Volontariat à l’International en Entreprise (VIE) revendique les mêmes valeurs que celles portées par le sport de haut niveau. Tel est le message que Business France, structure publique mandatée par l’Etat, en charge de ce dispositif qui accompagne de jeunes diplômés français dans leur première mission au sein d’entreprises françaises basées à l’étranger, a souhaité transmettre. Une première opération de communication et de relations publiques a réuni Patrice Martin, champion le plus titré du sport français, Marie-Amélie Le Fur, double championne paralympique d’athlétisme à Rio en , Christian Lopez, ancien défenseur de l’AS Saint-Etienne et de l’équipe de France, ainsi que Richard Conte, ancien manager général de l’AS Cannes puis de l’AS Monaco.