Marylène Alcouffe fait son entrée au conseil

Un nouveau visage a fait son apparition hier dans les rangs de l’opposition. Il s’agit de Marylène Alcouffe, qui figurait en e position sur la liste « Ensemble, pour Le Cannet », derrière Karine Dziwulski-Debever, démissionnaire. Cette dernière, alors en période d’essai pour son emploi à la CAF a dû céder sa place au conseil municipal afin de s’installer à Marseille. Après son installation, à l’issue d’un vote à main levée, Marylène Alcouffe a été désignée pour reprendre le flambeau au sein des deux instances où siégeait Mme Dziwulski-Debever. À savoir les commissions « Environnement et cadre de vie » et « Culture et animations ». Laurent Toulet, le chef de file de cette liste d’opposition (dvd), est ravi de compter à sa droite en assemblée cette architecte diplômée « par ailleurs amie de longue date », qui travaille aujourd’hui en maire de Cannes après avoir été au sein de l’OPH Cannes (exOPAM). Si, pour cette re prise de contact, la nouvelle conseillère municipale s’est montrée particulièrement discrète – aucune prise de parole – elle a déjà élaboré quelques pistes de réflexions, notamment grâce à ses connaissances techniques, « sur le projet de chauffage urbain avec, plutôt que l’adoption du gaz, pourquoi pas le brûlage de déchets, plus favorable en matière environnementale », annonce fièrement Laurent Toulet. Lequel reprochait, hier encore, le fait de ne « jamais obtenir suffisamment à l’avance les dates des conseils municipaux à venir pour que nous puissions pleinement remplir notre rôle d’opposant. (...) Remarquez, pour une fois, on nous a téléphoné pour dire qu’il y avait un deuxième conseil ce vendredi même », plaisante l’élu.