Le dossier concurrent d’un hôtel resort

Avec la vente avortée du Palm Beach au binôme Pada Events- Barrière, les concurrents sont remis en jeu, même si Patrick Partouche semble résigné à conserver son établissement jusqu’à expiration du bail signé avec les copropriétaires de la Pointe Croisette, jusqu’en . Le dossier présenté par le groupe hôtelier anglais Corinthia associé à Barberhoney mise sur un nouveau PLU (Plan Local d’Urbanisme) pour édifier un hôtel resort  étoiles à la place du bâti existant, après plus de deux ans de démolition-reconstruction. Son architecture de base s’inspirerait de l’ancien fort qui faisait face jadis à Ste-Marguerite. L’ensemble atteindrait  m de haut pour une emprise au sol de   m et

 un développement de   m, avec  chambres au maximum dans un environnement végétalisé afin de réduire l’impact visuel, ainsi qu’un spa de   m, une galerie commerciale d’une dizaine de boutiques,  salles de réunion, et une grande salle (  places) pour des soirées de gala. Une offre de  M€ aété formulée au groupe Partouche en février  pour le rachat du Palm Beach, avec un plan d’investissements de plus de  M€ sur le long terme, grâce à la signature d’un nouveau bail avec les copropriétaires de la Pointe Croisette. Concentré sur le tourisme d’affaires avec exploitation d’une base de loisirs en été, Crown Riviera annonce la création de  emplois à l’année (contre  saisonniers avec Pada-Events).