Nice-Matin (Cannes)

Corti : « On aurait bien aimé que Sophie Marceau porte plainte! »

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Avant d’être l’homme de platines de Thierry Ardisson ou le comédien qui campe avec maestria les « truands corses » qui veut kidnapper Sophie Marceau (lire par ailleurs), Philippe Corti demeure la figure flamboyant­e des boîtes de nuit de la presqu’île tropézienn­e... Une casquette retrouvée le temps d’un après-midi à Tropézina, « la plage des copains », pour une session de mix improvisée en marge de son petit séjour pour la pièce loufoque Le Clan, jouée cette semaine au Festival de Ramatuelle. Toujours affable, à quelques heures de fouler les planches, le quinqua bien dans ses baskets se prête même au jeu de l’interview Up & Down version « Ardisson »...

Meilleur souvenir à Saint-Tropez ?

La longue queue devant le Papagayo lorsque j’y étais DJ. En revanche, lorsque j’y suis revenu en , je ne me suis pas amusé... C’était une clientèle que je ne savais pas travailler.

Le pire à Saint-Tropez ?

L’arrestatio­n chez moi pour une histoire qui ne tenait pas debout [en lien avec un trafic de drogue, ndlr]. Il n’y avait rien dans le dossier. Mais c’est pas grave ce qui est fait est fait... J’ai grandi grâce à ça.

Avez-vous déjà souhaité la mort de quelqu’un ?

Oui ! Un ancien maire de SaintTrope­z... Alain Spada, toujours en lien avec cette affaire de l’époque. Il voulait ma peau et m’a harcelé grave... Bon alors je dirais peutêtre pas sa mort, mais sa défaite. Ce qui est arrivé même plus tôt que prévu dans son cas, puisqu’il n’a pas fini son mandat !

Excité par les cicatrices ?

Oui. Chez une femme, une petite cicatrice pas loin de la lèvre, j’aime bien.

Déjà porté un slip en cuir ?

Jamais. Ce n’est pas une de mes perversion­s.

Mixer avec votre sexe, légende ou réalité ?

Vrai bien sûr ! Surtout à l’époque tropézienn­e. Maintenant je le fais moins. Mais en général lorsque je suis dans un endroit où il y a

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