Premier prix : million d’euros pour m !
Principe fédérateur du projet ? Une trace. Un vieux chemin romain bordé d’immenses cyprès. « Tout s’organise autour de cet axe allant jusqu’à l’avenue de Rimiez », décrypte Vincent Guillermin, paysagiste. Une avenue qui fera, durant huit mois, dès le deuxième trimestre , l’objet de travaux d’aménagements par la Métropole Nice-Côte d’Azur : enfouissement des câbles aériens, création d’un réseau d’eaux pluviales, modernisation du réseau d’éclairage public par la pose de candélabres, construction de trottoirs sur m, réfection de la chaussée sur m, installation de mobilier urbain, ajout de places de stationnement… Une avenue par laquelle arriveront les véhicules se rendant au Domaine de Gairaut, lesquels, une fois le portail automatique franchi, passeront tout de suite en sous-sol, en direction de parkings situés sous les bâtiments. Pas de voiture en surface. Environnement choyé. À tous les niveaux, puisque chacune des unités sera alimentée par un jardin d’hiver, un ascenseur, un escalier. Pas plus de trois niveaux pour les bâtiments « à l’architecture assez horizontale, privilégiant le minéral, le bois et le verre », souligne Jean-Paul Gomis, architecte. On profite du cadre, du panorama pour réinventer le logement collectif. « C’est un peu de la villa tout en
étant dans une copropriété » ,argumente Marc Raspor. De la villa version et -pièces recherchant la qualité des vues à travers la combinaison de rez-de-jardin surplombé d’un duplex aux profondes terrasses. Les surfaces des appartements ? De à m. Côté services, à l’instar des palaces, une conciergerie répondra aux demandes des propriétaires, tandis qu’un gardien et des caméras assureront, en continu, jour et nuit, la surveillance et la protection de cet ensemble fermé, dont le prestige et la quiétude ont un prix : de à , millions d’euros. Mais appartements sur ont déjà trouvé acquéreur, dont des Niçois, propriétaires de villas, vivant seuls en quête d’une une copropriété sécurisée.