La phrase Rencontre «J’aiété assez bluffée »
Laura Flessel, ministre des Sports
Le nombre de salles de classe dédiées aux élèves du centre de formation (+ salle informatique). En mètres, la longueur du bâtiment, qui abrite m de surface de plancher sur niveaux et un niveau partiel technique. En hectares, la surface totale du centre, qui comprend déjà terrains d’entraînement ( à partir de ).
“Le
terrain de boules sur la terrasse, c’est géant ! Un club de foot, c’est le professionnalisme mais aussi la convivialité”
Vincent Koziello, milieu de terrain de l’OGC Nice. « Franchement, c’est le top. Espérons qu’on le soit également sur le terrain. C’est un vrai changement pour nous de travailler dans de telles conditions. J’ai préparé mon déménagement, déjà. On ne pouvait pas rêver mieux. » Une journée niçoise au pas de course pour la ministre des Sports, Laura Flessel : visite du Musée national du sport, inauguration de la salle d’escrime de St-Roch, visite de la start-up « My coach », visite de la piscine Camille-Muffat, signature d’un partenariat avec l’Université de Côte d’Azur, et pour finir, l’inauguration du centre d’entraînement du Gym... Pas le temps de souffler. Sitôt le ruban coupé et le discours achevé au centre, l’ancienne championne olympique d’escrime avait son vol retour à prendre pour Paris. Notre requête pour connaître ses impressions ? Aïe, plus le temps. Son attachée de presse : « Envoyeznous les questions par texto ». Dont voici les réponses, livrées en express... « Juste avant le décollage ».
Comment avez-vous trouvé le centre d’entraînement ?
Je dois avouer que je suis assez bluffée par la qualité de ces installations. Pour que des sportifs s’entraînent sereinement, le cadre compte énormément. En l’occurrence, ce centre offre un cadre et des équipements magnifiques aux joueurs, et je ne peux que le saluer. Au-delà de cet « On attendait ce moment avec impatience. Le club a fait quelque chose de grand. On change de dimension. Il y a du rouge et noir. Un beau stade, un magnifique centre d’entraînement, ça va attirer du beau monde. » aspect purement sportif, un centre comme celui-ci est un atout indéniable pour l’économie locale.
Un aspect particulier qui vous a séduit ?
Au-delà de la qualité du projet sportif et éducatif, j’ai été impressionnée par la qualité architecturale du centre.
Quand vous étiez championne, aviez-vous des amis parmi les footballeurs ?
J’ai des amis dans tous les sports. Lilian Thuram, Bernard Diomede, Luc Sonor, ou encore Bernard Lama, font partie de ceux que j’ai connus plus particulièrement.
Êtes-vous choquée par les montants de certains transferts dans le foot ?
Je viens d’un sport amateur et je comprends que ces montants puissent interpeller. De mon côté, je ne peux que saluer le fait que de « Ce centre ? Il est fonctionnel, beau, impressionnant. Bref, il est réussi. Ce qui est super : que les jeunes du centre de formations aient les mêmes conditions de travail que les pros. Ça, c’est top !» grands footballeurs jouent en France et contribuent à faire rayonner notre ligue . Ce qui m’importe, c’est que le fair-play financier soit respecté. Je sais que l’UEFA y est très vigilante.
Les événements en Corée du Nord, trouvez-vous cela inquiétant en vue des JO d’hiver ?
L’essentiel, c’est que les athlètes gardent le cap de ces Jeux d’hiver, et qu’ils s’y préparent pleinement.
Votre plus beau souvenir de championne ?
L’année : boostée par la victoire des Bleus à la Coupe du Monde, j’ai obtenu mon tout er titre de championne du monde quelques mois après ! « Ce ballon de verre posé à l’entrée du bâtiment est aussi impressionnant que sublime. Je suis heureux de voir l’OGCN évoluer, grandir. A Nice, on parle beaucoup du passé. Là, on est tourné vers le futur. Ce centre respire la sérénité. » « Quand je vois ce centre, je me dis que j’ai joué au temps de la préhistoire. Quel régal pour les yeux ! De mon temps, on avait un siège, un portemanteau et on stoppait l’entraînement pour laisser le terrain aux scolaires. »
“C’est
vraiment impressionnant. Ça prouve que le club est encore en train de grandir. Je suis très ému d’être là, papa aurait été très fier de vivre ce moment. Les jeunes, ça lui tenait à coeur. Il a insufflé un nouveau souffle en .”
Benjamin Marsiglia, fils de René Marsiglia « Je suis sous le choc. J’ai les yeux qui brillent. Quel outil de travail ! Chaque pièce m’a émerveillé. J’ai été soufflé par la salle de ‘’muscu’’. A mon époque, on avait deux vélos dont un cassé. »