Ça tweete La phrase
« La question n’est plus d’évaluer le bien-fondé d’un mouvement indépendantiste : en démocratie, on ne sanctionne pas le vote par la violence et la répression policière. Solidarité avec les Catalans. #Catalogne. »
président de «Tous citoyens ! », dimanche er octobre, h.
« Le terroriste de #Marseille était donc en situation irrégulière et avait été arrêté fois… Que dire de plus ? » conseiller régional apparenté FN, lundi, h .
« Dès lors que la sécurité des Français, re des libertés, est en jeu, les clivages partisans n’ont pas lieu d’être. #PJLAntiterrorisme #AN. » députée LR, mardi, h .
« J’ai voté contre l’affaiblissement de notre arsenal juridique et du niveau de protection des Français. #PJLTerrorisme. » Michèle Tabarot, députée LR, mardi, h .
« . Les atermoiements de certains membres du BP de #LR, faussement sages, sont destructeurs. » maire LR de Cannes, mardi, h .
« . On ne peut pas être dans une organisation et bosser en même temps pour la concurrence. C’est aussi simple que cela. #LR. » mardi, h .
« Que @davidlisnard se rassure : bientôt plus aucune concurrence entre @lesRepublicains et @enmarchefr avec @laurentwauquiez à la tête de #LR. » Loïc Dombreval, député LREM, mercredi, h .
« Ceux qui jouent les pucelles effarouchées face propos #Macron sont les mêmes qui dénoncent la langue de bois et s’invectivent à l’Assemblée. » Hervé Cael, président du Parti radical , jeudi, h . Sans surprise, Enis Sliti, référent provisoire d’En marche ! dans les AlpesMaritimes depuis quelques semaines, en remplacement de Richard Perrin, vient d’être confirmé à ce poste pour les trois prochaines années, à l’issue d’une consultation menée auprès du comité local de LREM. Contrôleur de gestion à l’hôpital de Cannes, diplômé notamment de l’école de commerce Skema, Enis Sliti, ans, a pour feuille de route « l’ancrage de LREM dans le département, en lien avec les députés Alexandra Ardisson, Cédric Roussel et Loïc Dombreval ». « Je suis fier de représenter La République en marche ! dans les AlpesMaritimes, dit-il. Nous souhaitons être le trait d’union entre les Français et leurs représentants politiques. Le mouvement continuera à organiser des consultations régulières et à animer des débats pour que les citoyens puissent s’exprimer, proposer et participer à l’action publique. Nous devons mettre fin au conformisme ambiant et sortir du fatalisme politique qui règne sur notre territoire par le dépassement des clivages. » LREM compte à ce jour dans le département comités locaux et adhérents.
Xavier Garcia, patron du PS , s’est amusé des « larmes de crocodile » de Christian Estrosi et Eric Ciotti au sujet de la fermeture de huit lits de médecine à l’hôpital de Saint-Martin-Vésubie. « Je n’ai pas une virgule à retirer de leurs interventions et je soutiens pleinement les initiatives du maire de Saint-MartinVésubie, Henri Giuge, pour attirer des infirmiers dans sa commune et maintenir un service public de santé de qualité pour les habitants de toute la vallée. Mais le minimum de cohérence devrait les conduire à plus de discrétion sur ce dossier. Tous les deux appartiennent à une formation politique dont le programme envisageait cent milliards d’économie sur le quinquennat. A Paris, messieurs Estrosi et Ciotti réclament des coupes sévères dans les dépenses publiques et, revenus à Nice, ils protestent contre les baisses de dotations de l’Etat et versent des larmes de crocodile sur la fermeture des classes, des bureaux de poste et des lits d’hôpitaux. S’ils veulent conserver un minimum de crédibilité, qu’ils nous exposent, point par point, comment réaliser vingt milliards d’économie par an sans toucher à ces services publics et aux dotations de fonctionnement des collectivités (tout en augmentant les effectifs de la police, de l’armée et de la justice, comme l’exige M. Ciotti !). » Laurent Lanquar, secrétaire départemental d’EE-LV, invite la députée de sa circonscription, la marcheuse Alexandra Valetta-Ardisson, à défendre une proposition de loi « de révolution plastique, une décennie pour sortir d’un siècle de plastique et de l’économie jetable. Deux priorités sont à planifier avec une montée en puissance progressive : le retour à la consignation et le développement de l’achat sans emballage ». « Si, en France, les sacs de caisse ont déjà été interdits, il reste encore une marge de progression énorme », explique l’écologiste, qui dénonce « l’impact terrible de la décomposition des plastiques (même ceux soi-disant biodégradables) qui produit des microparticules toxiques qui s’infiltrent dans les sols, les rivières et les océans, et que l’on va retrouver dans toute notre alimentation, tant par l’eau potable, l’agriculture que la pêche, même si on mange bio et que cette pollution plastique semble loin de chez nous. » A peine entré au Sénat, en remplacement de Louis Nègre qui a choisi de rester maire de Cagnes, Henri Leroy (LR) a intégré la commission des lois. L’élu y voit un lieu idéal « pour réformer la France et défendre les communes ». Le champ de compétences de ladite commission recouvre le droit constitutionnel, les libertés publiques et le droit électoral, le droit civil et le droit pénal, l’organisation de la justice et des collectivités territoriales, le droit commercial et celui des sociétés.
La démission de son poste d’adjointe au maire de Breil-sur-Roya de l’élue Modem Laurence Boetti-Forestier, en désaccord avec la politique municipale jugée trop « complaisante » avec les migrants, n’a pas manqué de faire des heureux à droite. Eric Ciotti a salué « une démarche courageuse » ,touten « dénonçant le comportement dangereux du maire de Breil-sur-Roya », André Ipert, qui a notamment accepté de faire financer par la commune des billets de train pour des migrants en situation irrégulière. Le conseiller régional divers droite Olivier Bettati, de son côté, a loué « une lucidité qui souligne que la défense des intérêts de nos concitoyens peut, et doit désormais, rassembler au-delà des étiquettes politiques ceux qui ont à coeur de défendre ce que le général de Gaulle appelait une certaine idée de la France. Chacun connaît les profondes différences de nos engagements politiques, mais je salue le courage de Laurence Boetti, si rare aujourd’hui en politique. » « Mieux vaut renforcer les contrôles humains et les caméras. C’est plus efficace et mieux adapté à la menace. » Ces propos de Renaud Muselier à La Provence, à propos des portiques de sécurité dans les gares après l’attaque islamiste survenue à Marseille, ont fait chaud au coeur du conseiller régional frontiste Philippe Vardon. « Après près de deux ans, se réjouit-il, le président de Paca se range enfin aux arguments des élus du Front national, qui n’ont eu de cesse de dénoncer le coût et l’inefficacité des portiques de sécurité, et de réclamer que la présence humaine soit privilégiée. C’est un heureux revirement, tranchant avec la propagande effrénée de Christian Estrosi autour des portiques, mais aussi avec les positions encore récentes de Renaud Muselier. » Secrétaire national des Républicains et président du groupe de la majorité à la Région, Pierre-Paul Léonelli fustige « l’hémiplégie qui contamine (son) mouvement : les candidats à la présidence souhaitent tous devenir le calife, ou plutôt le pape, de ce qui est devenu une Eglise abandonnée par ses fidèles. Cette attitude d’apparatchiks est d’autant plus condamnable qu’elle conforte des logiques carriéristes et ne propose aucun projet d’avenir. » Ce proche en chef de Christian Estrosi, tout en soutenant la candidature de Julien Aubert, en tire la conclusion dont nul ne doutait vraiment… « Aujourd’hui, c’est donc fort de ces constats et pour sortir de cette ornière que je rejoins la démarche entreprise par Christian Estrosi de réunir des représentants de nos territoires afin qu’une authentique fédération de citoyens, refusant le monolithisme parisien, renaisse depuis les quatre coins de notre si beau pays. » Jean Moucheboeuf, ex-cadre niçois du CNIP, Centre national des indépendants et paysans, vient de rejoindre le Front national. Cet ingénieur chimiste, qui avait été candidat sur la liste de Debout la France aux régionales fin , s’était déjà largement rapproché du parti frontiste ces derniers mois. Dans la foulée de Nicolas Dupont-Aignan, il avait soutenu l’appel au rassemblement national de Marine Le Pen entre les deux tours de la présidentielle, avant de devenir le directeur de campagne de Philippe Vardon lors des législatives. Il dit vouloir défendre « une France forte et républicaine » et « oeuvrer pour un patriotisme économique, tout en ayant à coeur de préserver l’identité d’une France dont (il) désire continuer à être fier. »
TH. P.
Le djihad qui se balade, la Corée qui fait suer, le Donald qui canarde, et l’Europe qui écope. La planète qui hoquette, les pesticides qui trucident, les médocs qui estoquent, et le chômage qui fait rage. Bon dieu qu’il file le cafard, ce monde tellement blafard ! A le voir à ce point patraque, mieux vaut encore en rire, à la mode d’Ouvrard, pour ne pas s’en ronger les foies. L’image que les écrans télé et les réseaux sociaux nous renvoient de l’humaine tragicomédie est devenue méchamment anxiogène. Nos enfants grandissent au gré du cortège mortuaire des attentats et des chaos à répétition d’une planète d’un bleu devenu bien pâlot. Ils sont de plus en plus nombreux, d’ailleurs, à manifester des signes d’angoisse et à remplir les cabinets des psys. Comment s’en étonner ? « Le monde où tu vas, mon garçon, je le crains. Le monde où tu vas, je le hais », anticipait Sardou ces dernières années. Et en déjà, celui qui va tirer sa révérence, après un demi-siècle de chansons, accusait « les hommes de ne prévoir que le bout de leur temps», dans un titre à la colère et à l’urgence férocement intactes. Cela n’empêche pas le chanteur de lancer, aussi, une invite à la résilience joyeuse : « Allons danser, pour oublier tout ça. Allons danser, et ça ira ». Alors emboîtons-lui le pas. Sans occulter la noirceur d’un monde à bonifier. « Je parraine Laurent Wauquiez parce que Les Républicains ont besoin d’un chef qui ne s’excuse pas d’être de droite pour se reconstruire et porter un projet d’avenir pour la France. »