Qui bouge ?
Une Saint-Valentin
Un jour dans l’année, ce n’est pas suffisant ? « Sûrement, mais l’avoir institué permet de faire passer des messages positifs sur l’entreprise et c’est déjà un grand pas. Le but est de semer quelques graines dans les esprits, que ça germe et fleurisse toute l’année, estime Sophie De Menthon. Et d’ailleurs une question : est-ce parce que vous faîtes un cadeau à votre Valentin(e) que vous ne l’aimez que ce jour-là ? Qu’est ce qui vous retient d’entretenir la flamme toute l’année ? »
Les syndicats soutiennent
A l’heure où la revendication se fait dans la rue, l’UNSA et la CGC soutiennent l’initiative de Sophie De Menthon.
Les politiques aussi
La ministre Laura Flessel soutient le sport en entreprise, elle organise une séance de training sportif avec ses collaborateurs. Rachida Dati fait de même avec les commerçants à la mairie du e. Et nos politiques ? Le maire de Cannes David Lisnard a choisi un concours de pétanque interentreprise.
L’idée détournée
Le slogan J’aime ma boîte a été plusieurs fois détourné et Sophie De Menthon adore ça : «La dernière en date a été la manifestation des salariés du Negresco qui arborait des tee-shirt J’aime ma boîte pour faire entendre leur voix devant le tribunal. J’aime ma boîte est un élément positif et j’aime beaucoup qu’on revendique sur cet aspect de l’entreprise.»