« Le coach croit en moi »

Alors qu’il évolue régulièrement au poste d’ailier depuis le début de saison, Rémi Walter ne s’en plaint pas. Mieux, il commence à prendre ses marques.

Ce match à Caen, il est déjà décisif ?

Il faut qu’on enchaîne après Dijon. Lors de ce match, on a été solide. Il le fallait pour soulager les têtes. C’est essentiel d’entamer une série positive. On a vraiment bien bossé pendant la trêve. Ce sera un match compliqué, mais on a la possibilité de remonter au classement. Cela reste serré encore.

Depuis le début de saison, vous évoluez en position de milieu excentré. Comment s’adapter à ce nouveau rôle ?

Si je joue là, c’est que le coach croit en moi. Je dois me persuader que ça peut le faire. C’est toujours mieux d’être polyvalent. Au début, ce n’était pas évident car je n’avais jamais joué ailier. Cela demande des efforts différents que dans l’axe. Il y a beaucoup de courses à faire, il faut aussi jouer à fond les coups offensifs. Mais je donne le maximum.

Vous courez combien de kilomètres par match ?

On va dire entre  et .

Depuis votre arrivée à Nice, on reste sur notre faim. Etes-vous d’accord ?

J’ai connu des périodes où je jouais moins. Ces temps-ci, ça va mieux. Je ressens de la confiance, ça peut me libérer. Il y a de la concurrence, c’est tout à fait normal. Je l’accepte, je bosse.