« Un prêt d’honneur étudiant cette année »
Alexandra Garnier, directrice d’Initiative Terres d’Azur
Alexandra Garnier, 35 ans, connaît bien la maison : elle est salariée d’ITA depuis 9 ans. Elle a débuté en septembre 2008 en tant que chargée de mission auprès des chefs d’entreprises et porteurs de projet. Elle en est la directrice depuis 5 ans.
L’intérêt de ces prêts d’honneur ?
Ce sont des prêts à taux zéro sur l’honneur. Il n’y a pas de demande de garantie ou de caution personnelle. Ces prêts ont aussi un effet levier et permettent aux chefs d’entreprise de compléter des financements bancaires dans un contexte économique compliqué depuis la crise de . Même si depuis trois ans, on sent une nouvelle dynamique. Avec notamment davantage de création d’entreprises, portées notamment par des jeunes de plus en plus nombreux mais aussi des quadra et plus, en rupture conventionnelle, qui ont envie de s’accomplir en tant que chef d’entreprise.
Combien de prêts d’honneur poposez-vous ?
La création, la reprise, la croissance, l’agricole, l’innovation depuis novembre dernier, ainsi que l’initiative remarquable qui vient s’adosser à un autre prêt d’honneur pour développer une démarche RSE au sein de l’entreprise. ITA propose aussi un financement participatif en collaboration avec deux plateformes de financement.
, l’année des ans : des nouveautés en perspective ?
Répondre toujours au plus près des besoins du marché. Alors que de nouvelles formations universitaires vont se développer dès la rentrée prochaine sur le territoire, pour nous c’est le moment de créer un nouveau prêt d’honneur. En l’occurrence, le prêt aux étudiants entreprenants. Grâce au financement du Fonds social européen, nous avons lancé fin , un club initiatives de femmes qui regroupe une vingtaine de femmes chefs d’entreprise que l’on a accompagnées. Un club que l’on va développer cette année.