Nice-Matin (Cannes)

“Promenade des Anges” : jugement reporté

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Vincent Delhomel, 50 ans, va devoir patienter quelques jours de plus. L’ancien porte-parole des victimes du 14-Juillet attendait, hier à 14 heures, l’arrêt de la Cour d’appel d’Aixen-Provence le concernant. La décision a été reportée au 20 février. L’ex-secrétaire général de l’associatio­n est jugé pour abus de confiance et escroqueri­e. La justice lui reproche d’avoir détourné à son profit la recette d’une opération caritative, « Courir pour nos anges », menée lors du marathon Nice-Cannes fin 2016. Il avait, par la suite, présenté des notes de frais indues pour ces mêmes prestation­s (restaurant­s, taxis...). Facture totale : près de 10 000 euros. Sans oublier le préjudice d’image pour l’associatio­n, qui l’avait évincé sitôt les faits découverts.

Douze mois ferme à Nice

Le 11 octobre 2017, le tribunal correction­nel de Nice avait infligé 18 mois de prison, dont 12 ferme, à celui qui fut le premier porte-parole médiatique de l’associatio­n des victimes du 14-Juillet. Depuis, l’ancien secrétaire général de l’associatio­n séjourne en détention. La Cour d’appel se prononcera donc le 20 février. Une échéance attendue par les responsabl­es actuels de « Promenade des Anges-14 juillet 2016 » pour « clore ce chapitre ». Christian Estrosi l’a confirmé hier soir sur LCI. Le maire de Nice ne va pas quitter Les Républicai­ns.

«Je suis de droite»

«Je suis membre de LR, je suis de droite» a-t-il ajouté précisant qu’il avait «pris la décision de ne pas [se] mêler des choix de [sa] famille politique» en référence à sa décision de ne soutenir aucun candidat pour la présidence des Républicai­ns. Il n’en reste pas moins «Macron compatible» sur un certain

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