La grogne au lycée Bristol
Dans le cadre de la Quinzaine de l'emploi s'est tenue à Ranguin la Journée des métiers des services à la personne, de la santé et des emplois à domicile. Celle-ci a été organisée avec l’étroite collaboration entre le Plan local pour l’insertion à l’emploi (PLIE) Pays de Lérins, la Mission locale et Pôle emploi. À cette occasion, les représentants de 25 entreprises sont venus pour rencontrer des postulants à l’emploi. Le matin, salle Raimu, plus de cinquante personnes sont venues assister à une conférence sur le thème de la découverte des métiers proposés à travers informations et témoignages. L’après-midi à la MJC Ranguin plus de 300 personnes sont venues au salon recrutement dans le but de décrocher un emploi, d’avoir des informations et autres. Comme Méran « venue pour découvrir le secteur d’aide à domicile afin de trouver un emploi dans ce nouveau domaine. »
G.M.
Alors que les trois groupes scolaires de Ranguin (MarcelPagnol, Saint-Exupery et Frédéric-Mistral) étaient en grève hier, le dossier évolue. Ce ne sont pas trois classes qui devraient fermer à la rentrée. Mais deux : une élémentaire à Mistral et une maternelle à Saint-Exupery. La troisième classe menacée – une élémentaire Une quarantaine d’enseignants du lycée Bristol ont débrayé une heure hier, entre h et h. Les causes de la grogne ? Une Dotation Globale Horaire insuffisante (enveloppe d’heures attribuée par le rectorat permettant à l’établissement de fonctionner). « Comme on va perdre élèves, on nous retire des moyens », dénonce David Murat, prof d’histoire-géo. Les terminales ES vont être par classe ! Menacée à Saint-Exupery – ne fermera pas. « On a obtenu une ouverture de classe (hypothétique selon les effectifs) d’une maternelle à La Bocca, probablement à aussi selon les enseignants, l’attractivité du lycée qui va perdre les préparations à Sciences po (une quinzaine d’élèves par an) et l’option « Droits et grands enjeux du monde contemporain ». Les inquiétudes concernent aussi l’ambiance de travail avec incidents signalés, conseils de discipline depuis le début de l’année. « On a rendez-vous le mars au rectorat.» l’école de La Verrerie », annonce Franck Brock, élu au SNUIPP.
Décisions définitives le février
En revanche, le souhait des trois écoles de voir leurs moyens maintenus un an malgré leur sortie de REP a de grandes chances de ne pas être satisfait. Mais rien n’est joué. Il s’agissait, hier, des propositions du comité technique de l’inspection académique tenu. Les décisions définitives seront annoncées lors le Comité Départemental de l’Éducation Nationale, qui se tiendra le vendredi 23 février prochain à Nice.