Dorten et Bettati ne s’aiment décidément pas
Catherine Dorten, récemment apostrophée dans nos colonnes par Olivier Bettati (nos éditions du mars) lui met, en retour, cette petite semelle en peau de vache... « Comment peut-on accorder une once de crédibilité et d’attention aux propos tenus par ce VRP multicartes de la politique niçoise ?, nous dit l’opposante cannoise. Pour rappel, ce monsieur a été membre du RPR, puis candidat avec Jacques Médecin, puis membre de la majorité de Christian Estrosi avant de la quitter et de se présenter contre lui, avant de trahir ses anciens colistiers en se rapprochant de Marion Maréchal-Le Pen, et enfin de rejoindre le CNI (...) Quelques jours après la Journée nationale des droits des femmes, M. Bettati aurait pu éviter de parler de l’une d’entre elles avec cet accent méprisant, sur le fameux air de l’incompétence des femmes en général, et en politique en particulier. Le fait que je sois la seule opposante en mairie de Cannes dérange et je m’en rends bien compte (...) M. Bettati se trompe d’adversaire. Ce spécialiste des coups bas serait-il en train de livrer son dernier combat ? Moi, je me bats pour ma ville et mon département. Nice et les A.-M. ont trop souffert de ces apprentis Rastignac qui confondent leurs intérêts personnels avec l’intérêt collectif. » On vous l’avait dit qu’entre les deux, ce n’est pas le grand amour.