Londres expulse diplomates russes, Moscou va riposter En Californie, Donald Trump défend son mur
Après avoir déclaré Moscou « coupable » de l’empoisonnement d’un ex-espion russe sur son sol, la Première ministre britannique Theresa May a annoncé, hier, l’expulsion de 23 diplomates et le gel des contacts bilatéraux avec la Russie. Des décisions qui ont provoqué la colère du Kremlin. Le ministère russe des Affaires étrangères a répliqué en dénonçant « une provocation grossière», accusant Londres d’avoir « fait le choix de la confrontation». «Nos mesures de riposte ne se feront pas attendre », a menacé Moscou. Theresa May a dénoncé devant le Parlement « un usage illégal de la force par l’État russe contre le Royaume-Uni » et jugé « tragique » la «voie choisie» par le président russe Vladimir Poutine, qui n’a pas répondu à sa demande d’explication sur cette affaire. Elle s’exprimait dix jours après l’empoisonnement d’un ex-espion, Sergueï Skripal, 66 ans, et de sa fille Ioulia, 33 ans, victimes d’une attaque avec un agent innervant militaire de fabrication russe à Salisbury, dans le sud-ouest de l’Angleterre. La Russie disposait jusqu’ici de 59 diplomates accrédités au Royaume-Uni. Les 23 diplomates ciblés, considérés par Londres comme des « agents de renseignement non déclarés» , ont « une semaine » pour quitter le territoire. Il s’agit de la vague d’expulsion de diplomates russes par le Royaume-Uni la plus importante depuis la Guerre froide. L’escalade des tensions entre les deux pays intervient à quelques jours de l’élection présidentielle en Russie, dimanche, dont le président Vladimir Poutine est le grand favori, et à trois mois de la Coupe du monde de football en Russie. Theresa May a précisé que Londres n’enverrait aucun représentant, diplomate ou membre de la famille royale, à la compétition. Ce choix n’aura « pas d’impact sur la qualité du tournoi », ont commenté les organisateurs russes, déplorant que « tout le monde n’adhère pas au principe de laisser le football en dehors de la politique ». Le ministère britannique Le président américain Donald Trump a examiné, mardi à San Diego, les huit prototypes du mur qu’il veut construire tout le long de la frontière avec le Mexique afin de freiner l’immigration clandestine. Il s’agit de l’une de ses principales promesses de campagne qui figure parmi les plus controversées, particulièrement en Californie. Dans ce bastion démocrate, sa venue a provoqué plusieurs rassemblements restés pacifiques, avec d’un côté une petite centaine de ses partisans et de l’autre, environ opposants dont beaucoup d’origine hispanique. Les clôtures existantes « arrêtent %, %» des immigrants qui veulent passer aux États-Unis depuis le Mexique et « quand nous installerons le vrai mur nous en arrêterons %, peut-être plus », a-t-il expliqué.
Québec : une Française retrouvée cinq jours après l’accident mortel
Le corps d’une Française, dont la police avait signalé mardi la disparition, a été retrouvé dans le fleuve Saint-Laurent à Québec. Cela intervient cinq jours après le décès de sa fille de ans, tuée dans un accident de motoneige, a-t-on indiqué de sources concordantes. Fabienne Somon, ans était originaire de Béthune, dans le Pas-de-Calais. Celle-ci avait quitté tôt mardi matin le logement où elle résidait depuis son arrivée à Québec il y a quelques jours.
Donald Trump a limogé Rex Tillerson, chef de la diplomatie américaine
Donald Trump a annoncé mardi le limogeage de Rex Tillerson, avec lequel il entretenait des relations notoirement difficiles, et son remplacement à la tête de la diplomatie américaine par l’actuel directeur de la CIA, Mike Pompeo. Après des mois de rumeurs, le sort de l’ancien homme fort d’ExxonMobil a été scellé d’un simple tweet. Dont 1000 € de prime à la conversion gouvernementale.
sans vie, de sa fille
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