Koziello adore les stades allemands, Eysseric a été très touché par le décès d’Astori
« On est dernier mais on joue toujours devant personnes à domicile. A Brême, c’était le e contre le dernier et il y avait un stade plein un lundi soir. » Une autre culture, un autre football, « avec plus d’intensité dans les duels », Vincent Koziello découvre l’Allemagne et la Bundesliga avec bonheur depuis son arrivée à Cologne. Le coach Stefan Ruthenbeck l’a laissé « s’acclimater » quelques semaines, avant de le titulariser chaque weekend depuis trois matchs et la victoire sur le terrain du RB Leipzig (-). Un match marqué par le premier but de l’ancien Aiglon en Allemagne, d’une frappe du gauche à l’entrée de la surface. « Je ne pouvais pas espérer mieux pour ma première titularisation. J’avais été impressionné par l’équipe de Leipzig en première période, et quand on marque le deuxième but j’étais encore plus heureux que pour mon égalisation. » Malgré une très bonne première mi-temps contre Stuttgart (-) la journée suivante, «la meilleure de la saison selon le staff », Cologne et Koziello restent sur deux défaites avant de recevoir Leverkusen (e). « Satisfait » de ses premières prestations, et un brin « déçu de ne pas avoir pu signer le ballon de Plea pour son quadruplé » Koziello espère apprendre « une bonne nouvelle » avant d’entrer sur la pelouse dimanche (h). En Italie, Eysseric ne joue pas beaucoup avec la Fiorentina, ( apparitions en Serie A), mais « (s)’accroche » avec le «top» pour objectif. Alors qu’il vit dans « le centre d’une ville magnifique », Valentin a vécu « des jours douloureux avec la disparition de notre capitaine Davide Astori. Je suis remonté dans ma chambre après le petit-déjeuner et c’est là qu’on a commencé à entendre du bruit et voir des gens qui pleuraient dans les couloirs. C’était une terrible nouvelle. »