Richard Galy évoque l’avenir de l’Eco’Parc
Les habitants du quartier «Le Guillet» et alentours avaient rendez-vous avec le maire et son staff au carrefour du chemin Picasso et de l’avenue Maurice-Gridaine, histoire de parler de choses et d’autres: des travaux faits et à faire, des projets de la ville, et des questions en suspens. À commencer par la venue de la fibre, promise par Orange, mais qui se fait attendre. « On m’a fait payer un abonnement», s’est exclamé un riverain, «les techniciens sont venus deux fois, mais je ne suis toujours pas connecté ».
La fibre avance lentement
Ici comme ailleurs en ville, «des bornes sont installées – ce sont des noeuds de raccordement - mais les liaisons chez les particuliers n’avancent pas», a révélé Richard Galy, avec une certaine impatience. Ses services n’arrivent pas à obtenir une information claire et un planning de réalisation précis de la part de l’opérateur historique. Une réunion publique, organisée avant l’été devrait y pourvoir. Pour le reste, la réunion a été plombée par un mano a mano entre le maire et un homme à la logorrhée intense. Dommage pour les autres. C’est lui qui a mis sur le tapis l’avenir de l’Eco’Parc, beaucoup moins utilisé depuis la construction de la Scène 55 et des inondations de 2015.
Problème d’embâcles
« Il faut beaucoup de temps pour restaurer l’équipement et s’assurer que le site est exempt de tout risque d’inondation», a expliqué le maire. «Il faut retracer le vallon, le recalibrer, recreuser et régler le problème des embâcles.» Si les expositions d’extérieur ont été stoppées, fête Eden, forum de développement économique, et concerts d’été ont été poursuivis. «Onaeuunchoixà faire», depuis les travaux à Rosella Hightower et Scène 55, «on va maintenant se réoccuper de l’Eco’Parc et voir à quoi on va le destiner. »