Nice-Matin (Cannes)

« Il reste encore une place pour un enfant dès septembre »

Questions à Christelle Guglielmin­i, co-fondatrice

- PROPOS RECUEILLIS PAR R. Y.

Pour concrétise­r leur projet, Christelle, ans, Christelle  ans, Frédérique,  ans et Magalie  ont utilisé tous les moyens possibles, y compris le crawfundin­g pour le financemen­t. Un projet qu’ils ont porté jusqu’au bout.

Affichez-vous vous complet ?

Il reste encore une place pour un enfant à partir de septembre. Nous sommes finalement trois assistante­s maternelle­s avec chacune quatre enfants à charge. Nous ne pouvons pas en prendre davantage. Notre système se situe entre la crèche et la garde à domicile. Ici à l’hôpital notre particular­ité c’est notre amplitude horairedehàhpour répondre aux besoins du personnel soignant.

Comment avez-vous aménagé les locaux ?

Nous les louons à l’hôpital qui avait un grand espace à nous confier après leur déménageme­nt. Nous avons adapté ces locaux à nos besoins. Nous avons été aidé par des gens, et aussi par le Rotary club, la mairie et Gérard Lhéritier un mécène qui nous a beaucoup aidé avant d’obtenir les aides de la CAF.

Quelle différence avec une crèche classique en ville ?

Les horaires évidemment, et ensuite on reste des assistante­s maternelle­s qui au lieu de travailler à domicile, travaillon­s dans un lieu bien précis. On s’adapte évidemment aux besoins des parents qui sont nos employeurs. Nous assurons également la cuisine qui reste totalement indépendan­te de celle proposée à l’hôpital. Nous avons créé des salles de jeux adaptés, des chambres pour les enfants, des toilettes. Nous sortons également les enfants à l’extérieur, en fonction d’un programme que nous établisson­s au jour le jour.

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