« Chapeau à Nice-Matin »

« J’ai envie de vous dire “Chapeau !” pour le chemin parcouru depuis . C’était pas dans la poche ! » De la même manière qu’il suit les résultats de l’OGC Nice, Bernard Tapie est toujours attentif à la situation du groupe Nice-Matin. Car si le sort de notre groupe de presse a été un temps lié à celui de l’actuel actionnaire majoritaire de La Provence, Bernard Tapie n’en est pas le propriétaire. L’homme d’affaires a été copropriétaire de Nice-Matin entre décembre  et décembre , date du «divorce» entre Tapie et la famille Hersant. Après une période de procédure judiciaire, le  novembre , le tribunal de commerce de Nice a retenu la candidature de la Société coopérative d’intérêt collectif des salariés (Scic) de Nice-Matin pour la reprise de leur groupe. Le sauvetage de Nice-Matin et cette reprise ont été rendus possible grâce à l’investissement d’une partie des salariés, des lecteurs du quotidien grâce à une campagne de financement participatif… et au soutien financier de Bernard Tapie, conditionné à la vente à La Provence des  % des parts que détenait Nice-Matin dans Corse-Matin. La reprise a également été possible grâce à un prêt du groupe La Provence à Nice-Matin. Un prêt remboursé dès  grâce à la vente d’actifs immobiliers. Depuis janvier , le groupe belge Nethys est entré au capital de NiceMatin dont il détient actuellement  %, la Scic conservant %.