Nourris au ballon rond
Et Dorian, ont pris le temps de se confier sur la passion qui les unit depuis tout petit : le football
matchs ensemble.
Des souvenirs de jeunesse ?
D.C. : A la maison c’était un carnage ! [sourire] Nos chambres étaient face à face donc on faisait une balle avec une boule de papier et on utilisait les portes comme but. Comme ma mère gardait des enfants, on faisait aussi des duels de la tête et il fallait mettre le ballon en mousse dans le lit de bébé ! [rire]
Vous avez la même vision du foot ?
D.C. : Généralement oui. On voit le même football, on aime quand il y a des contacts. Surtout lui !
Est-ce que vous vous chambré mutuellement ?
D.C. : Non. Je suis plutôt derrière lui. Quand je vois qu’il n’est pas bien ou qu’il faut mettre deux-trois coups je lui dis. Des fois il est trop gentil ! [sourire] A.C. : On chambre surtout les autres ! [sourire]
« Chaque causerie dans le vestiaire entraîne un fou rire »
Anthony vous êtes devenus spécialiste de handball… ()
A.C. : Ah oui du coup je vais voir du handball. C’est plus agréable à regarder qu’un match de football. Ça va toujours d’un but à l’autre, il n’y a jamais de temps mort ! D.C. : Il y a des contacts donc il est content ! [sourire] A.C. : Tu fais des fautes, tout le
banc se lève et t’applaudit. C’est le top! [sourire]
Ça permet de voir autre chose !
A.C. : Cette année on avait quatre entraînements par semaine plus le match le week-end. Quand tu vas à Mont-de-Marsan tu pars souvent le vendredi et tu reviens le dimanche matin donc tu ne peux pas faire grand-chose.
Qui est le plus fort des deux ?
D.C. : C’est lui ! Il est plus vieux, il joue plus haut. Au niveau des duels je pense qu’on est au même niveau mais moi je ne suis pas du tout technique. Quand j’étais attaquant, je poussais le ballon et je courais ! Si je fais un passement de jambes je tombe [sourire].