Vol MH370 : la contreenquête sur C8
La chaîne promet des révélations sur la disparition de l’avion de la Malaysia Airlines
C8 diffuse un documentaire de la chaîne australienne Nine, au cours duquel une équipe d’experts a réalisé une contre-enquête pour élucider le mystère du Boeing de la Malaysia Airlines, disparu en 2014. Le 8 mars 2014, le Boeing 777 M H 370, piloté parle commandant Zaharie Ah madSh ah, décolle de Kuala-Lumpur à destination de Pékin, avec 227 passagers et 12 membres d’équipage. Après avoir envoyé un dernier message, le pilote coupe le transpondeur, ce qui fait disparaître l’ avion des écrans radar. Mais un radar militaire a suivi le parcours d’un avion qui n’était pas sur sa route normale. Sans doute le MH370. Et un satellite Inmarsat a auusi pisté leBoeing, pour untechnique des es réacteurs. Ce qui mène à une découverte capitale. Car on s’aperçoit que l’avion fait demi-tour. Autour d’une table, des experts vont retracer le dernier plan de vol et expliquer comment l’appareil a fini son voyage fatidique, non sans parfois s’affronter sur la théorie de la disparition. Plongeon en chute libre dans l’océan ou amerrissage délibéré du commandant ? Pour Simon Hardy, pilote de Boeing 777 et instructeur, la chute n’est pas réaliste. Il reproduit le crash en simulateur de vol, ce qui est interdit parles protocoles d’ entraînementet est même ta bouchez les pilotes. Selon lui, Zaharie Ah madS ha ha piloté jusqu’ au bout, en effectuant un amerrissage contrôlé. Volant ainsi bien au-delà des derniers signaux envoyés par le satellite, et échappant donc aux zones de recherches. Une chose apparaît clairement après analyse des quelques débris retrouvés : le pilote avait planifié son acte. Il voulait disparaître dans l’océan sans que l’on puisse retrouver l’ avion et ses passagers. La police a d’ ailleurs découvert qu’il avait simulé un plan de vol identique sur son ordinateur. Pour mener à bien son projet criminel, il aurait dépressurisé la cabine, afin d’empêcher quiconque de passer un appel sur un portable. L’ appareil gît donc quelque part, au fond de l’océan, brisé en quelques gros fragments. La société Ocean Infinity, qui avait découvertle Titanicetre trouvé l’AF447 du vol Rio-Paris de 2009, vient d’achever des recherches entamées depuis le mois de janvier. Hélas sans résultat.