Danse avec les stars... et les autres
Dense : c’est l’adjectif qui qualifie la saison des arts dansés. Vendredi novembre ( h), le flamenco est à l’honneur, avec Una Mirada Lenta. L’occasion d’admirer la grâce et l’élégance de l’envoûtante Ibérique Ana Morales, référence mondiale. Quand les pas élégants d’Héla Fatoumi et Eric Lamoureux rencontrent la pop atmosphérique du Suédois Peter Von Poehl, ça donne Sympathetic Magic. Et c’est vendredi décembre ( h). Direction le Brésil, samedi janvier ( h et h) avec la compagnie Deborah Colker et Cão Sem Plumas .Une création avec treize danseurs, inspirée d’un poème de João Cabral de Melo Neto. Trois représentations en France, dont deux à Grasse : elle est pas belle, la vie ? Cocorico, mardi et mercredi février ( h), avec les locaux de Système Castafiore. Le binôme Marcia Barcellos-Karl Biscuit offre Anthologie du cauchemar, pièce créée en résidence au TDG. Une exploration fantasmagorique, nourrie par cinq danseurs, évoluant sur fond d’images projetées. Rendez-vous très attendus, jeudi et vendredi mars ( h), avec Nomad de Sidi Larbi Cherkaoui. Le Belgo-Marocain, chorégraphe emblématique, livre un show aux milles facettes au coeur du désert, où se mêlent musique électronique, chants sacrés soufis et vidéo. En mars toujours, vendredi ( h), Les Déclinaisons de la Navarre. Entre humour absurde et folie légère, Claire Laureau et Nicolas Chaigneau donnent une vision bien à eux d’un dialogue entre le roi Henri et la future reine Margot. Mardi avril ( h), Marion Lévy, l’une des deux artistes associées au TDG, présente son nouveau solo, Training. Autoportrait chorégraphique où elle marie geste, mots et sons avec gourmandise. La saison de danse se couchera au pays du Soleil Levant, vendredi mai ( h) avec Utsushi. Un florilège de années de création de la compagnie japonaise Sankai Juku. Quand esthétisme et spiritualité se conjuguent pour un résultat fascinant de beauté.
Tarifs : 12€ à 25 € (6€ à 12 avec la carte TDG).