Le chiffre
qu’il s’est passé. J’ai pris un survirage sorti de nulle part. En termes de pilotage, j’ai fait exactement la même chose que le tour d’avant. On va regarder tout ça... »
Le moral n’est pas entamé
Décortiquer le tête-à-queue. L’étudier à la loupe. Le passer à la pince à épiler afin d’éviter le copié-collé cet après-midi. Surtout que le bonhomme en avait sous la semelle. Des sensations. De la vitesse. « Dans l’ensemble, la voiture était super et on avait une demi-seconde d’avance sur les Renault, donc c’était bien. On aurait dû faire 7 ! 10, c’est trois places derrière, mais ça va être une longue course... » À tenir les supporters français en haleine. Car pas question pour lui de baisser pavillon. Cette première mérite du panache. « On garde le moral, on est à la maison, la voiture va vite
pilote français a pour la troisième fois cette saison - en huit grands prix - perdu le contrôle de sa monoplace...
et c’est demain (lire aujourd’hui) que ça compte. Mon but est clairement de marquer des points... » Et de mettre un terme aussi aux critiques dont il est l’objet depuis des semaines et des semaines. En ce jour spécial, Romain Grosjean enverra du bois. Promis ! « Dépasser ne sera pas simple. Il y a beaucoup de virages rapides. Mais il y aura bien des opportunités à saisir. On va voir la stratégie à adopter... » La nuit porte conseil. À 16 heures, sur la grille, il ne sera plus question de ronger son frein. Le Français mettra tout en branle pour animer les débats et briller !