Nice-Matin (Cannes)

100 000 euros dérobés dans une villa

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Vide-greniers des Semboules

Dimanche  septembre, dehàh, grand vide-greniers, places des Lavandes et de l’Église Inscriptio­n tous les lundis, mercredis et vendredis, de  heures à  heures et  heures à  heures, au local Cadis  rue RobertDesn­os. Rens. .....

La scène prend place jeudi dans une propriété située boulevard du Cap à Antibes. L’aprèsmidi vient à peine de débuter, une employée se trouve seule dans la maison. Cette dernière se fait surprendre par un individu qui s’introduit dans la villa. Il entrave la trentenair­e. Et – accompagné de complices ou non – dérobe le coffre-fort situé dans une des pièces. À l’intérieur : bijoux et argent liquide pour un préjudice de 100 000 euros. Le ou les voleurs se sont également emparés des clés d’une voiture stationnée dans la propriété pour prendre la fuite. Ce véhicule a d’ailleurs été retrouvé près de Juan-les-Pins. L’enquête a été confiée à la brigade de sûreté urbaine de Cannes.

La tentative de vol tourne court

Un bon réflexe ! Il est 15 heures, hier, lorsqu’un voiturier d’un hôtel juanais devient témoin d’une scène qui l’alerte. Sous ses yeux, il découvre un homme en train de forcer une voiture stationnée. Devant la réaction de l’employé de l’hôtel, le voleur s’enferme dans la petite citadine. Puis, tente de prendre la fuite. Le salarié l’interpelle puis, les forces de l’ordre prennent le relais. L’auteur des faits, un trentenair­e, a été conduit au poste.

Gare aux faux agents Enedis...

Rebelote. Au gré des saisons, les faux agents reprennent du service dans la cité des Remparts. C’est ainsi : c’est cyclique. Histoire d’alerter le plus grand nombre, voici le petit manège qui s’est déroulé il y a quelques jours de cela au sein d’une résidence du chemin des Âmes-du-Purgatoire. En plein après-midi, la sonnerie du téléphone d’une octogénair­e retentit. De l’autre côté du combiné, son interlocut­eur se présente comme le remplaçant de son bailleur social. Et lui annonce que deux agents Enedis vont venir contrôler son tableau électrique. C’est seulement cinq minutes plus tard que la sonnette de son appartemen­t résonne. À l’autre bout de l’interphone – on vous le donne dans le mille – deux individus se présentant comme des agents Enedis. Son mari les accueille dans le hall de l’appartemen­t et leur demande de leur montrer leur carte profession­nelle afin d’attester de leur affiliatio­n à l’entreprise dont ils se revendique­nt. Le duo balaye le sujet en précisant que leurs cartes se trouvent dans leur véhicule de fonction. Comme prévu, ils s’approchent du tableau électrique et s’agitent devant. Puis, d’un coup : l’électricit­é du logement se trouve coupée. Sans sourciller, le tandem de faux agents réclame 110 euros pour remettre le courant. Le couple d’Antibois ne lâche pas : ils ne leur donneront rien. Alors, le duo d’escrocs va plus loin et leur explique qu’ils sont redevables de 1500 euros, mais qu’après leur avoir fourni cette somme, le couple sera remboursé par son assurance. N’ayant plus de doute sur le caractère malfaisant de ces agents qui n’en sont pas, le couple leur somme de quitter les lieux. Comme dit, l’habit ne fait définitive­ment pas le moine.

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