Ninja Warrior : place aux femmes !
Jeu Le jeu de force et d’adresse revient sur TF1 avec une nouvelle recrue et un règlement aménagé
Du sport, de l’humeur, de l’humour et… des gamelles. Ce soir, Ninja Warrior est de retour sur TF1. Cette troisième saison est marquée par plusieurs changements, notamment l’arrivée d’une nouvelle recrue : Iris Mittenaere. Miss Univers 2016 remplace Sandrine Quétier. Petit tour d’horizon. On ne change pas une équipe qui gagne ! Enfin presque. Après le succès des deux saisons précédentes, Ninja Warrior change quand même de braquet et accueille une nouvelle recrue, Iris Mittenaere. Une recrue qui a tapé dans l’oeil de Denis Brogniart et de son comparse, Christophe Beaugrand. « Elle est formidable. C’est une bosseuse. Elle a envie de faire ce métier. Elle va y arriver. C’est une vraie découverte. » Les deux présentateurs ne tarissent pas d’éloges sur Miss Univers 2016, qui remplace Sandrine Quétier. « Elle a su tout de suite créer un climat de proximité avec les candidats et les mettre à l’aise, tout comme les personnes qui les accompagnent. Elle nous a bluffés. » Côté épreuves, le niveau monte. Les montagnes rus-
ses, les lames de rasoir, les cubes de cristal… viennent muscler le parcours des héros dessiné sur 7 000 mètres carrés, où s’affrontent les 250 candidats. Choisis parmi 20 000 postulants, ils se retrouvent dès le départ devant un dilemme. « Ils ont le choix entre une épreuve
qui sollicite la force des bras et une autre qui fait appel à la vitesse et à l’équilibre, explique Denis Brogniart. Ensuite, ils ne sont pas au bout de leurs peines, car, pour parvenir au sommet du mur, il faut se surpasser. Cette année, le règlement a été aménagé pour que les femmes accèdent à la finale : la meilleure des participantes sera automatiquement sélectionnée en demi-finale et la meilleure de toutes les demi-finales le sera pour la finale. » Des épreuves qu’il n’a pas pu tester. « Des problèmes d’assurance me l’interdisent, mais j’avoue en avoir très envie », confie le globetrotteur de la Une. Une interdiction qui n’a pas fait reculer Christophe Beaugrand. « Je n’ai pas pu résister à tester un mur d’escalade, avoue-t-il. Je ne suis pas allé bien haut, mais j’ai réalisé la difficulté de l’épreuve. En toute discrétion… »