L’attractivité et l’international : tous ambassadeurs
LES AMBASSADEURS DU THÈME
Gérard Franzin, BPM Consulting (Nice) Eric Anton, IDRAC (Sophia)
LE DIAGNOSTIC
Besoin de repenser l’offre pour attirer ● de nouvelles cibles. Que vendon ? A qui ? Il y a un déficit d’image globale de la Côte d’Azur, perception parcellaire littoral/arrière-pays, tourisme/entreprises, vieux/jeunes.
La Côte a des ● atouts à valoriser pour recruter des talents, inciter des entreprises à s’installer : qualité de vie, aéroport. Ses faiblesses sont le coût de la vie, de l’habitat, les transports, le turn-over, et le manque d’ETI.
Un déficit d’information sur les réseaux ● existants pour le développement à l’international, besoin d’outils de prospection. Des manques par rapport à d’autres régions comme un club des exportateurs.
Chasser en meute bien organisé ● par le public, peu (pas assez) d’initiatives privées.
LES TROIS IDÉES COUP DE COEUR
Bâtir une communication qui met ● en regard de toutes les composantes de la Côte, y compris ses forces entrepreneuriales. Une communication qui pourrait être impulsée par les entrepreneurs eux-mêmes. Les membres du Hub business NM pourraient être des ambassadeurs de la Côte d’Azur, être les acteurs d’une campagne, poster régulièrement des messages sur les réseaux sociaux qui exposeraient la variété des performances de la Côte d’Azur.
Développer ● des espaces de coworking dans l’arrièrepays, des espaces relais pour télétravailler et maintenir la vie dans les villages. Pour équilibrer les flux entre le littoral et l’arrière-pays, lever le frein du foncier pour les salariés et valoriser le moyen et haut pays.
Favoriser plus de coopération privée-privée ● en s’appuyant sur la force des marques. Une marque ayant une belle assise internationale pourrait en tirer d’autres. Les aider à s’établir à l’étranger. Et/ou constituer des stratégies d’attaque collectivement, en mettant à disposition son expertise, ses référents d’un pays, d’une zone au profit d’un groupe. Prendre un stand plus grand pour accueillir d’autres marques azuréennes quand on fait un salon à l’étranger pour favoriser la visibilité du savoir-faire. Faire davantage appel à l’intelligence collective pour travailler la prospection.
Favoriser plus de coopération privée à l’étranger