Appel aux lecteurs

Depuis quelques mois, Nice-Matin édite un magazine réservé à ses abonnés. Pour le mois de décembre, nous allons vous demander de plonger dans vos souvenirs d’enfance, de faire appel à votre mémoire et tout particulièrement à la mémoire de votre coeur. Noël oblige, ce numéro de fin d’année sera consacré aux jouets. Ceux que vous avez reçus étant enfant et que vous n’avez jamais oubliés, voire que vous conservez toujours. Ou, au contraire, ceux que vous désiriez très fort ou n’avez jamais pu avoir. Ou le jouet que vous n’avez jamais aimé, parce qu’associé à un mauvais moment, un mauvais souvenir... Racontez-nous leur histoire, ces histoires, tristes ou joyeuses. Adressez-nous vos textes et photos (originales ou en format jpg) avant le  novembre en mentionnant vos nom, prénom et adresse à mensuel@nicematin.fr ou à Nice-Matin - Service Développement éditorial - , boulevard du Mercantour  Nice cedex . Attention, matière grise en ébullition ! La technopole de Sophia Antipolis va phosphorer plus encore que d’habitude puisque SOPHI.A, le premier tremplin de l’intelligence artificielle, a été officiellement inauguré hier matin sur le campus de Sophia Tech. Jusqu’à vendredi soir, quelque 1 200 participants, experts et spécialistes de l’intelligence artificielle participeront aux conférences scientifiques, débats, tables rondes qui réunissent le monde académique et celui de l’entreprise. L’objectif ? Témoigner et échanger autour des recherches en cours, des problématiques rencontrées. Ce colloque coïncide avec l’annonce, mardi soir, de la présélection de la technopole pour accueillir l’un des quatre Instituts interdisciplinaires de l’intelligence artificielle en France (3IA) : « Un alignement des planètes, souligne Jean Leonetti, maire d’Antibes-Juan-les-Pins et président de la Casa, et un bel exemple de fertilisation croisée. Ce foisonnement d’intelligence entre le monde académique, de la recherche et de l’entreprise a permis cette réussite.» Preuve, si besoin en était, qu’il ne faut pas avoir peur des algorithmes : l’intelligence humaine primera toujours.