 raisons d’assister au match

. Les Bleues se font rares L’équipe de France féminine n’a foulé les pelouses du département qu’à trois reprises en  matchs. Voir les filles de Corinne Diacre sur la pelouse de l’Allianz est donc un événement. Alors que les Bleues ont disputé le premier match de leur histoire en avril , il a fallu attendre le  décembre  pour les voir débarquer une première fois sur la Côte, à Vallauris, en barrage retour d’accession à l’Euro . Ce soir-là, battues par l’Italie (-), elles avaient été éliminées après avoir été déjà piégées à l’aller (-). Elles revenaient ensuite en , à Coubertin à Cannes. En amical, elles s’inclinaient face à la Norvège, championne olympique (-). Enfin, le  avril , les joueuses de Bruno Bini avaient préparé l’Euro en Suède par un nul (-) contre le Canada au Ray.

. Une jolie série ! Les Tricolores montent clairement en puissance à sept mois d’accueillir la Coupe du monde. Les partenaires d’Amandine Henry restent sur six victoires d’affilée ( buts marqués,  encaissé).

. Le Mondial en approche Un collectif a toujours besoin d’un engouement populaire pour s’octroyer les trophées les plus prestigieux. Demandez aux Bleus de Deschamps ! Les Françaises ne font pas exception. Avant leur Mondial, durant lequel elles disputeront leur deuxième match de groupe à Nice le  juin, les Tricolores entendent emporter l’Hexagone dans leur sillage. Ce soutien populaire doit se manifester dès la préparation.