Les sempiternels (mais plus que salutaires) bons réflexes
Rien de nouveau sous le soleil ? Preuve en est qu’il est bon de rappeler les réflexes à adopter en cas de doute…
Sur le net
Pour esquiver les dangers derrière son clavier, les règles d’or sont nombreuses. En résumé : on n’ouvre pas un courriel douteux, on fait ses achats en ligne sur un site sécurisé dont l’adresse débute par «https» et on ne communique jamais, ô grand jamais, ses coordonnées bancaires.
Escrocs à la fausse qualité
Ils se présentent au domicile de leur victime, en tant que soi-disant plombier, sapeur-pompier ou encore agent EDF. Sous un faux prétexte, les usurpateurs s’invitent pour chaparder biens, chèques, liquide ou carte bancaire. L’habit ne fait pas le moine : certains voleurs à la fausse qualité n’hésitent pas à se faire passer pour des policiers ! Pour éviter ce tour de passe-passe qui finit mal, demandez à la personne sur votre paillasson de vous présenter sa carte professionnelle et effectuez un contre-appel à l’organisme dont il se revendique.
Le mail réclamant des fonds
Tout commence par une adresse mail qui ne nous est pas inconnue. Avec un drôle de message qui parvient dans notre boîte... Quelqu’un de notre entourage nous transmet un message alertant dans le genre: « Coucou c’est Christian, j’ai un problème il faut que tu me contactes vite par mail ». Bref, si vous suivez l’indication il y a de fortes chances pour que ce ne soit pas le Christian que vous connaissez qui vous réponde. Mais la personne qui a piraté sa boîte mail pour tenter de soutirer empathie et deniers à quelques-uns de ses contacts. Si vous recevez ce genre de message: contactez par une autre voie la personne de votre entourage qui est censée en être à l’origine. La lumière sera rapidement faite...
Au distributeur
Les distributeurs automatiques de billets font figure de jackpot pour les roublards. Du coup, on évite de se laisser distraire, de retirer à date et heure fixe sa pension ou encore de recompter les billets dans la rue. Bref, quand il s’agit de l’argent, vous l’aurez compris : mieux vaut ne pas agir sans vigilance.