Le pourquoi du comment
C’est donc le préfet Bernard Gonzalez – aux côtés de l’administrateur général des finances publiques – qui a signifié à la Ville sa sortie du réseau, à la suite de l’examen des comptes . Pour cela, il se base sur : la diminution des dépenses réelles de fonctionnement (-, % en ans), la faible hausse des charges de personnel (+, % en ans, avec des ratios de €/habitant, moins que les moyennes régionale – € – et nationale – €). Mais aussi, la baisse des subventions aux associations (- % en ans), de la dette (-, % en ans) et donc, logiquement, des charges financières (- %). Ainsi, la capacité d’autofinancement nette dégagée en (, M€) apparaît « modeste » mais témoigne « d’une nouvelle dynamique. » La capacité de désendettement (, ans) est, elle, dans la moyenne nationale. Côté investissements, « s’ils ont été financés majoritairement par l’emprunt », ils n’ont pas « alourdi la dette », le remboursement étant supérieur aux nouveaux emprunts. Cependant, « le bouclage financier des opérations par une ponction, certes limitée [ €], sur le fonds de roulement atteint ses limites, compte tenu du très faible niveau des réserves [ €/habitant contre € à l’échelle nationale]. Alors, il faudra poursuivre les efforts en « améliorant la capacité d’autofinancement nette » en resserrant les dépenses et augmentant les recettes, rétablir les réserves et poursuivre le désendettement, via notamment la cession de biens.