Jean-Claude Antakli écrit pour ceux « qui souffrent et doutent »
Ancien biologiste en Aveyron, Jean-Claude Antakli est aujourd’hui écrivain à Antibes. Après plusieurs tomes d’Itinéraires d’un chrétien d’Orient, le Syrien né à Alep en 1940 revient avec son nouvel ouvrage Dieu existe (éditions Parvis, 18 euros). L’auteur y relate les témoignages de « faits prodigieux » et de « rencontres extraordinaires », en témoigne la quatrième de couverture. Demain et mardi il sera en dédicace à Juan-les-Pins.
Pourquoi avoir écrit ce livre ?
En août , pendant une nuit, une voix intérieure m’a dit : « Il faut que tu écrives sur les cinq éléments. » Ça m’a travaillé, et les cinq éléments sont venus progressivement. Et de là, j’ai fait le rapprochement avec tout ce dont j’ai été témoin, tous les événements surnaturels qui sont venus sur mon chemin depuis près de ans. J’ai voulu faire une synthèse culturelle, historique et scientifique de ce dont nous avions été témoins avec mon épouse. Mais en se basant sur ce qui était essentiel. L’objectif c’est de témoigner de la puissance de Dieu, la manière dont il communique depuis ans avec les hommes et les femmes.
À qui cet ouvrage s’adresse-t-il ?
Il est destiné à tous ceux qui veulent le lire déjà. Et de préférence, je dirais aux gens qui souffrent et qui doutent. Cette démarche repose sur le fait de réaliser une synthèse d’un vécu qui n’est pas basée sur des fausses interprétations. Quelque part, le but du livre, c’était de le faire pour ceux qui sont découragés.
Pensez-vous que la pandémie peut influencer vos ventes ?
C’est vrai que ce livre arrive presque à point pour consoler les gens. Quand je vois que le niveau de pessimisme est équivalent en France, à celui du peuple irakien, cela pose quand même quelques questions à nos politiques et nos religieux. Le grand absent de la pandémie, c’est Dieu, ce dieu qui reste étranger au monde. Quand on pense que durant cette période de confinement on pouvait aller dans les supermarchés mais pas dans les lieux de culte, c’était une attaque à la liberté de culte.