« La promesse d’une fête »

Claude Atcher, directeur du comité d’organisation de la Coupe du monde 2023

La France a son Mondial et Nice aura sa part...

La Coupe du monde  vivra et vibrera dans les territoires. Elle y trouvera sa raison d’être. Chaque ville hôte aura un bureau afin d’optimiser les discussions avec tous les acteurs qui participeront à l’organisation de cet événement. Ce bureau devra être opérationnel début janvier. A Nice, il sera situé avenue Simone Veil. Au sein du Centre Européen d’Entreprises et d’Innovation.

Qui sera à sa tête ?

Le directeur du site niçois sera une directrice. Sandrine Simonnet est une experte en événements sportifs. Elle a oeuvré lors des derniers JO, à l’Euro , au Mondial de foot en Russie. C’est une Franco-Canadienne de  ans. Quatre femmes seront à la tête des sites du Mondial .

Quelles sont les prochaines étapes ?

D’abord, le tirage au sort de la compétition qui se déroulera le  décembre au Palais Brongniart à Paris. Chaque nation connaîtra son groupe. Vu le contexte actuel, il y aura peu d’invités et d’intervenants. Le tirage sera diffusé en direct sur TMC. Les chaînes d’infos le retransmettront également. Le calendrier sera dévoilé fin février. On sait déjà qu’il y aura quatre matchs de poule à Nice.

Nice peut-il être le camp de base des Bleus ?

De quels Bleus ? L’Italie aurait très envie de s’installer à Nice...

Le XV de France, lui, sera à Marcoussis.

La crise actuel vous a-t-elle retardé ?

Non, on est dans les temps. La feuille de route est respectée, le dossier sponsoring bouclé. La crise de la Covid- ne nous a pas impactés. En , elle sera derrière nous. Ce Mondial est aussi la promesse d’une fête.