Un potager et des arbres fruitiers pour l’école Olivari
Un potager et un verger de 300 m2 vont être plantés au service de l’école et du périscolaire.
Il est des idées, des projets dont on se demande, lorsqu’on les voit se réaliser, pourquoi ils n’ont pas été initiés plus tôt. Celui du potager de l’école Olivari en est la parfaite illustration. Imaginez un terrain en friche juste à côté de l’école qui ne servait à rien. Dans quelques mois, il accueillera donc un potager et des arbres fruitiers.
« Il faut rendre à César ce qui est à César, c’est l’association des parents d’élèves (APE) qui porte le projet depuis un an, d’abord avec l’ancienne municipalité et maintenant avec nous. Nous sommes très contents de l’accompagner. Il est trop petit pour rentrer dans notre projet de potager municipale pour les cantines scolaires mais il est bien dans l’esprit de ce que nous souhaitons faire », explique Caroline Joussemet, l’adjointe au maire déléguée à l’environnement.
300 m2 de terrain
Le potager est divisé en deux partis, une planche supérieure et une planche inférieure, « le tout pour 300m2 car nous devons laisser un espace pour les zones d’évacuation de l’école », précise Emmanuel Pierson, responsable du centre technique municipal. Neuf arbres fruitiers ont déjà été plantés (des abricotiers, cerisiers, grenadiers, pruniers) et sept carrés d’une vingtaine de m2 seront réservés au potager, « il y aura aussi des pieds de vigne sur la partie supérieure. C’est un très beau projet pour nous car cela permet de faire travailler l’ensemble des équipes des services techniques », se félicite le responsable du service.
Les travaux ont débuté au début du mois et devrait durer encore quelques semaines, « il a fallu aplatir le terrain, poser le réseau d’arrosage, planter les arbres ; il reste à retourner la terre, délimiter les carrés, mettre du broyat pour faire propre au niveau de la circulation. Le service des espaces verts sera aussi présent pour aider et accompagner l’APE dans son projet », conclut Emmanuel Pierson.
Ne reste donc plus qu’à ...