Roselyne Bachelot sous oxygène renforcé
Hospitalisée depuis la veille à la suite d’une contamination au Covid-19, Roselyne Bachelot a précisé, hier, avoir été placée sous « oxygénothérapie renforcée ». « Je tenais à remercier tous ceux qui m’ont envoyé des messages chaleureux, ils me touchent et me portent ! Je suis prise en charge par des soignants exceptionnels et bénéficie désormais d’une oxygénothérapie renforcée » , at-elle tweeté.
Elle avait annoncé samedi avoir été testée positive « à la suite de symptômes respiratoires », avant que son entourage annonce mercredi son hospitalisation. Mais son « état est stable et n’inspire pas d’inquiétudes », assurait son entourage, précisant que «son
La troisième vague de Covid-19 que subit la France pourrait bien complexifier ses échanges avec le Royaumeuni. Interrogé mercredi par des membres du Parlement sur le fait de savoir pourquoi la France, où trois nouveaux départements devraient s’ajouter à la liste des 16 déjà soumis à de nouvelles mesures de freinage, ne se trouvait pas sur la « liste rouge » de restrictions des voyages, le premier ministre britannique Boris Johnson a répondu : c’est « une chose que nous allons devoir étudier ».
Les voyageurs en provenance de pays figurant sur cette liste ne peuvent accéder au territoire britannique à moins d’être ressortissants du Royaume-uni ou Irlandais ou d’avoir le statut de résident, auquel cas ils doivent séjourner médecin a(vait) préconisé une surveillance accrue à l’hôpital pour les quelques jours à venir ». « Mercredi soir, elle ne se sentait plus assez bien avec la dose d’oxygène qui lui était délivrée. Les médecins ont par conséquent décidé de l’augmenter », a dit un membre de l’entourage de la ministre. Cette même source a expliqué qu’elle « a tenu à faire un tweet pour rassurer les personnes qui lui envoient de nombreux messages inquiets ». Roselyne Bachelot est le deuxième membre du gouvernement malade du coronavirus et hospitalisé, après la ministre du Travail Elisabeth Borne, 59 ans, admise lundi dans un établissement de la région parisienne, avant d’en sortir mercredi. en quarantaine dans un hôtel à leurs propres frais. « Nous ne pouvons exclure des mesures plus fortes et nous les appliquerons si nécessaire », a déclaré le chef du gouvernement. Boris Johnson a toutefois mis en garde contre les perturbations que provoqueraient d’éventuelles mesures, en particulier dans les échanges commerciaux entre les deux côtés de la Manche.
Il y a un an, à Bergame, l’armée transportait des centaines de cerceuils
Les images choc du macabre cortège des camions militaires transportant des cercueils en pleine nuit de Bergame vers d’autres communes du nord de l’italie ont fait le tour du monde le mars . Un an plus tard, cette cité martyre du coronavirus continue à panser ses plaies. Au plus fort de la pandémie, le père Marco Bergamelli bénissait des cercueils toutes les dix minutes.
« C’était plein de cercueils ici, il y en avait jusqu’à alignés jusqu’au pied de l’autel », se souvient-il.
« Au début, les camions venaient la nuit, personne ne devait savoir que les cercueils partaient ailleurs ». Des poids lourds aux bâches de camouflage enlevaient jusqu’à cercueils par jour de l’église, réquisitionnée car les chambres mortuaires étaient saturées.
Venu à Bergame pour rendre hommage aux victimes de la pandémie en Italie, le Premier ministre Mario Draghi a déposé, hier, une couronne de fleurs à l’entrée de l’église du cimetière, avant d’observer une minute de silence. Au seul mois de mars , personnes sont mortes à Bergame, ville de habitants, et près de dans la province du même nom, connue comme « le Wuhan d’italie », soit à fois plus que la normale, selon l’institut national des statistiques.