« Venez ! Nous sommes ouverts, nous vous attendons ! »
Quel sentiment prédomine avec ces réouvertures ?
Un sentiment d’euphorie. Il y a eu l’attente, il y a l’envie de repartir. La météo ne nous a pas aidés. Et avec les restrictions, nous ne sommes pas encore en situation de travailler à 100 %. Mais nous sommes sur la bonne voie.
Quels établissements ont rouvert ?
Peu à peu, tout est en train de rouvrir. Les discothèques ne sont pas encore rouvertes.
Nous parlons donc des bars, restaurants, plages... Reste ce problème des horaires
[N.D.L.R. : le couvre-feu reste fixé à 22 h]. Nous essayons d’être prêts pour un retour à la normale. Chez nous, il s’agit de survie ! Ces quinze mois de fermeture qui ont mis à genoux une grande partie de l’activité économique. Tout est lié : avec la fermeture des bars et restaurants, les magasins de vêtements ont moins travaillé aussi. C’est donc important de relancer un cercle vertueux.
Avec la clientèle française ?
Notre clientèle est en grande partie française. Nous sommes donc très attentifs à ce qui se passe en France. C’est important de travailler avec eux, que ce soit dans les commerces, les bars ou au
marché. Nous savons l’amour que portent les Français pour notre territoire. Nous devons être prêts pour eux aussi.
Quel message pour vos voisins azuréens, une fois levées les restrictions de circulation ?
Venez ! Nous sommes ouverts. Nous vous attendons. Vous êtes très importants pour nous. Et nous avons hâte de nous mettre de nouveau à votre service.