Un centre de vaccination est ouvert à Breil-sur-Roya
La campagne de vaccination est lancée dans la vallée de la Roya. La haute-Roya est couverte avec un autre site à et la Bevera avec celui de
La maison de santé pluriprofessionnelle de la Roya et la communauté professionnelle territoriale de santé (CPTS) de la Riviera Française, avec le soutien logistique du centre hospitalier, lancent la campagne de vaccination et viennent d’ouvrir un centre à Breil-sur-Roya. Mardi, tout n’était pas entièrement opérationnel, mais hier, la campagne a bien été lancée dans la vallée.
En effet, les premières personnes concernées ont commencé à venir pour bénéficier de la première injection. Un rappel devra être effectué dans un délai de trois semaines.
« Les doses attribuées sont suffisantes »
Selon Thierry Loirac, directeur des établissements hospitaliers en Roya/Bévéra, « les choses sont bien en place, les doses attribuées sont suffisantes et les barrières des réticences commencent à tomber ». C’est là le résultat d’une communication efficace et compréhensible.
Pour le site de vaccination qui a également ouvert à Tende pour les habitants de la Haute Roya, les prises de rendez-vous se font de la même manière, et via les mêmes contacts, que pour Breil.
On fait le point.
Quand ?
Depuis le 19 janvier, les mardis et jeudis, sur rendez-vous uniquement
Où?
Au Pôle d’Activité et de Soins Adaptés (PASA) situé au 1er étage de la Maison de Santé, dans l’enceinte du centre hospitalier de Breil-sur-Roya.
Qui peut se faire vacciner ?
- Les personnes de plus de 75 ans - Les professionnels de santé de + de 50 ans ou à risque avec comorbidités
- Sur prescription uniquement, les
(Photo J.-M. P.) une nouvelle fois, répété le maire.
J.-M. P.
T’es pas de Villefranche si ? « Si tu ne dis pas que la rade est la plus belle du monde. » Ou encore « si tu n’as pas un tableau de J.M. Eckert accroché chez toi » pourraient s’amuser à déclarer les amateurs d’art et de la peinture de l’enfant du pays.
Dans son atelier-galerie-maison, en plein coeur du village, John Michael Eckert s’amuse de cette image. Dans les cartons, les affiches de ces expositions témoignent d’une notoriété dépassant largement les frontières de l’hexagone. « J’ai eu la chance de beaucoup voyager. On s’appauvrit si on reste toujours au même endroit », souffle-t-il. À 15 ans, il intègre l’école des Beaux-Arts de Nice puis celle de Marseille où il apprend les techniques du