Ondrej Kopta, la force tranquille
Actuel co-meilleur buteur du championnat, Ondrej Kopta est devenu une pièce incontournable de l’équipe de Stan Sutor dès sa deuxième saison. Face à Gap ce soir (h), l’ailier niçois et ses coéquipiers tenteront de briser une série de cinq revers de rang.
Il ne fait peut-être pas beaucoup de bruit mais le Tchèque est l’un des joueurs les plus en vue cette saison chez les Aigles. Calme, attachant, le natif de Plzen s’est fait une place dans le six de départ et ce, dès sa deuxième campagne. Prêté à de nombreuses reprises par Hradec Kralove en République Tchèque avant de débarquer sur la
Côte d’Azur, l’ailier de 25 ans reconnaît que le choix de venir à Nice n’a pas été évident. « J’avais des propositions d’autres pays mais je suis content d’avoir fait ce choix. J’en ai discuté avec mon agent, ma famille et mes amis et je suis venu ici parce que j’ai la chance de pouvoir jouer en première ligne. »
Stan Sutor, lui, a insisté pour attirer le colosse d’un mètre quatre-vingt-dix. Un détail qui a pesé dans la balance selon Kopta. Seulement, les choses ne se sont pas tout de suite déroulées comme prévu.
« La saison dernière a été difficile dès le début. On perdait presque toutes nos rencontres. Au bout de trois mois, on a commencé à bien mieux jouer. Mais ce ne fut pas suffisant pour disputer les playoffs… »
«Jemesenstrès bien »
Dans la continuité de la saison dernière, les Aigles ont enchaîné les bonnes performances dès le début de la nouvelle campagne. «Ona commencé par des victoires et ces résultats nous ont mis dans une bonne position au classement. »
Cette bonne période, Nice le doit en partie à son ailier gauche. Avec 11 réalisations en 18 rencontres, celui qui va bientôt fêter ses 26 ans pointe tout en haut de la liste des meilleurs buteurs du championnat avec le Grenoblois
Damien Fleury.
« J’ai travaillé très dur l’été dernier pour être à ce niveau. Je me sens très bien cette saison donc je marque beaucoup mais je le dois aussi en grande partie à mes coéquipiers. » Seulement voilà, le NHE n’a