Londres : un policier inculpé d’enlèvement et de meurtre
Un policier a été inculpé d’enlèvement et de meurtre vendredi à Londres après l’identification du corps d’une jeune femme disparue depuis le 3 mars, une affaire qui suscite une vive émotion au Royaume-Uni. La police métropolitaine de Londres a annoncé qu’un agent de son unité de protection des représentations diplomatiques, Wayne Couzens, 48 ans, avait été inculpé pour la mort de Sarah Everard. Cette responsable marketing de 33 ans avait disparu dans la soirée du 3 mars alors qu’elle rentrait à pied chez elle dans le sud de la capitale.
Wayne Couzens, qui sera présenté à un juge, avait été arrêté mardi soir dans le Kent (sud-est de l’Angleterre), où il vit et où le corps de la victime avait été découvert mercredi dans un bois. Ce corps a été formellement identifié vendredi. Sarah Everard avait rendu visite à des amis à Clapham, dans le sud de Londres, et rentrait chez elle à Brixton, à environ 50 minutes de marche, lorsqu’elle a disparu vers 21 h 30 le 3 mars.
Soupçonné d’exhibition sexuelle
Le policier inculpé pour le meurtre est également soupçonné d’exhibition sexuelle. Saisie, la police des polices (IOPC) a indiqué jeudi qu’elle déterminerait si les forces de l’ordre avaient traité de manière « appropriée » ces faits, qui auraient eu lieu le 28 février, quelques jours avant la disparition de Sarah Everard, dans un fastfood londonien.
Citée dans un communiqué de la police, la famille de la victime a décrit une jeune femme « forte », « enjouée et belle », « gentille et attentionnée ».
L’affaire a soulevé une vive émotion au Royaume-Uni. Jeudi, une députée, Jess Phillips, avait lu devant la Chambre des communes les noms des 118 femmes victimes de meurtre l’an dernier dans le pays.
Des centaines de personnes sont venues se recueillir, hier, en mémoire de Sarah Everard.
Belgique : incidents à Liège en marge d’une manifestation
(Photo Mnhn-Agnès Iatzoura)
reproduire, leurs descendants survivent moins, ce qui fait que de génération en génération, il y a de moins en moins d’individus. Et si le processus se poursuit, il se termine par une extinction.
Cela pourrait se passer chez l’Homme ?
Oui, mais en y ajoutant d’autres facteurs. En attendant, on constate un déclin de la fertilité, notamment masculine, en
Europe et aux États-Unis, sous l’effet de perturbateurs endocriniens, qui viennent de certaines pratiques agricoles, donc issus de la nourriture que l’on consomme et des polluants que l’on absorbe. Nous sommes loin du seuil limite et on peut pallier à cela par la fécondation artificielle. Mais si nous arrivions au bout de ce processus, avec des individus qui seraient complètement stériles, cela poserait de grandes difficultés.
C’est ce qui est arrivé aux dinosaures ?