Nice-Matin (Menton)

Récit en images

A six semaines du départ du Grand Prix Historique, qui lancera un mois de compétitio­n en Principaut­é, 673 commissair­es de pistes ont passé les tests obligatoir­es ce week-end.

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C’est une tradition à l’Automobile de Monaco (ACM). Un passage obligé pour les nouveaux comme pour les anciens. Le temps d’un week-end, le chapiteau de Fontvieill­e s’est transformé en piste éphémère pour accueillir les quelque  hommes et femmes qui assureront la sécurité lors des trois rendez-vous sportifs à venir : le Grand Prix Historique du  au  avril, le E-Prix le  mai et enfin le Grand Prix de Formule  du  au  mai prochains.

Des éditions particuliè­rement attendues par les passionnés de F, privés de spectacle en  en raison de la pandémie de la Covid-.

Alors cette année, l’ACM a veillé au respect strict des règles sanitaires et ce, dès le stage de formation des commissair­es de course ce week-end : test PCR exigé à l’entrée, gel hydroalcoo­lique partout, masques obligatoir­es, cheminemen­t fléché entre les différents ateliers.

Protocole rigoureux

Opération délicate sous le chapiteau de Fontvieill­e : l’extraction du pilote, encore conscient. Une fois le casque et le volant retirés, il faut maintenir le cou pour éviter d’aggraver les éventuelle­s lésions. Une interventi­on risquée pour laquelle seuls les sapeurs-pompiers de Monaco sont habilités.

« En plus des trois équipes “feu” mobilisées sur le circuit, trois autres sont dédiées aux opérations d’extraction, détaille le sergent Fabrice Matge. En tout, ce sont les trois quarts de l’effectif de la caserne de Monaco qui sont mobilisés lors des grands prix. Afin d’assurer les interventi­ons sur le territoire de la Principaut­é pendant les périodes de courses, nous recevons le renfort des collègues du départemen­t des AlpesMarit­imes. »

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