Les questions que l’on se pose
À nouveau confinement, nouvelles questions. Ce que vous pouvez faire, ce qu’il est interdit... Trouvez les réponses à vos interrogations.
(Ph. Cyril Dodergny) par ailleurs que le chef de cabinet du préfet lui a annoncé qu’il faudrait doubler à la mi-avril. En traitant 3 000 personnes par semaine.
« On ne pourra pas en accueillir autant, les locaux ne le permettent pas », glisse-t-il. Avant de suggérer que le souhait de Roquebrune-CapMartin d’ouvrir un centre secondaire pourrait être entendu (après avoir été refusé dans un premier temps). « Sans fausse modestie, on est bons. Les agents, les infirmières, les médecins sont efficaces et gentils », note l’adjointe à la santé, Patricia Martelli. Gageant que 100 % des Mentonnais de plus de 75 ans seront vaccinés d’ici à la fin du mois de mars.
Le centre de Menton sera ouvert ce samedi de 8 h 30 à 13 heures et de 14h à 16h. 220 rendez-vous en primo injection (Moderna) sont programmés.
A.R.
Le Premier ministre Jean Castex a reçu sa première dose du vaccin AstraZeneca hier à l’hôpital Bégin de SaintMandé, près de Paris, une injection destinée à rassurer les Français après la brève suspension du sérum antiCovid. « Je n’ai rien senti alors que je suis un peu douillet », a commenté le Premier ministre, ans.
« On ne va pas faire comme M. Véran », a-t-il plaisanté en remontant la manche de sa chemise pour recevoir l’injection. Deux heures plus tôt, la Haute autorité de santé (HAS) avait donné son feu vert à la reprise « sans délai » de la vaccination avec AstraZeneca, tout en recommandant de le réserver aux personnes de ans et plus. Face au risque de défiance d’une partie de la population, Jean Castex avait annoncé dès mardi qu’il se ferait vacciner « très rapidement » si la suspension d’AstraZeneca était levée, qualifiant ce vaccin d’ «utile», en dépit des inquiétudes sur de possibles effets secondaires. « Jusqu’à présent, je m’étais fixé une ligne de conduite, c’est-à-dire me faire vacciner quand mon tour viendrait, pas de passe-droit », avait déclaré mardi le chef du gouvernement qui ne déclare « pas de comorbidité connue ». « Mais je me suis dit effectivement qu’il serait judicieux que je me fasse vacciner très rapidement (...) pour montrer à mes concitoyens que la vaccination, c’est la porte de sortie de cette crise et qu’on peut y aller en toute sécurité », avait-il poursuivi. (Photo AFP)