John Kerry en guest
(Photos Jean-François Ottonello) différents enjeux et les différentes échéances se répondent et se nourrissent ».
Une volonté partagée par la ministre française de la Mer, Annick Girardin, qui dans un message vidéo a affirmé qu’aujourd’hui, « chacun devait prendre conscience de sa dépendance à l’océan ».
CEDRIC VERANY cverany@monacomatin.mc
Dans la lutte contre les changements climatiques, les États-Unis sont de retour et John Kerry s’est chargé de faire passer le message, par vidéo, en ouverture de la MBI. L’envoyé spécial à la lutte contre le réchauffement climatique dans l’administration du président Biden a affirmé qu’il consacrait ses journées à cette mission.
« Nous nous dirigeons vers un avenir encore plus catastrophique, avec un réchauffement de plus de degrés sur la planète. Personne n’arrive à faire ce que nous nous sommes fixé à Paris. Pour protéger l’océan et la planète, il est absolument essentiel d’essayer de maintenir le réchauffement à , degré ». Dans son intervention, John Kerry a regretté « profondément » que les États-Unis aient été absents de cette lutte ces dernières années. « Nous faisons maintenant tout ce qui est en notre pouvoir pour rattraper le temps perdu » .Savision se veut teintée de positivité : « nous sommes face aux possibilités de la plus grande transformation économique que le monde ait connue depuis la révolution industrielle. Le marché du climat, l’effort pour changer notre politique énergétique, sera le plus grand marché que le monde ait jamais connu ».